Ma fille Cloé (3) - Histoires de Sexe

Ma fille Cloé (3)

... et le frotte doucement, comme pour apaiser la douleur.

— Voilà, c’est fini ma chérie, tu es femme maintenant, ça va être que du bonheur !

Je commence à faire de très lents va-et-vient, ma fille grimace et plante ses ongles dans mes hanches.

— Doucement papa doucement !

Ma femme joue avec le clito de Cloé pour atténuer la douleur, elle accélère le rythme. Tout en la masturbant, elle pose ses lèvres sur un mamelon et le tète goulûment, moi je commence à faire de plus rapides va-et-vient, ma fille agite son bassin, la douleur s’estompe petit à petit. Maintenant, ma bite coulisse aisément dans le cratère bouillonnant, j’accélère, ma fille m’encourage.

— Oui papa, vas-y c’est bon maintenant !

Je me retiens plus et la pilonne sauvagement, elle s’accroche à moi. Ma femme mordille les tétons dressés, elle les agace en les titillant, elle les aspire à tour de rôle, les bouts sont devenus énormes surtout douloureux. Cloé s’arc-boute, pousse un cri de bête blessée en faisant gicler sa cyprine, sa maman lui écrase le clito, cela a pour effet de la faire jouir davantage. Je la ramone encore un bon moment, avant de lui inonder la chatte de mon sperme épais. Je retire mon mandrin gluant du canal de chair.

Du trou entrouvert s’échappe un filet de sperme mêlé à du sang. Ma femme enfonce deux ...

... doigts dans la chatte, récupère du jus et l’étale sur le ventre de sa fille.

— Mon Dieu papa, t’as bien rempli ma chérie, ça dégouline encore !

— Maintenant que tu es devenue femme, tu as droit à une prestation spéciale !

Ma femme sort du tiroir de la table de nuit, une gaine souple en silicone garnie de picots.

— Avec ça ma chérie, tu vas grimper au rideau !

Cloé étonnée, écarquille les yeux.

Ma femme pare ma queue de l’objet, et dirige le tout contre la chatte encore entrouverte. Je pousse doucement, ma fille ouvre la bouche, je m’enfonce jusqu’aux couilles, et entreprends un va-et-vient d’enfer.

— Mon Dieu maman, c’est terrible, j’ai l’impression qu’une multitude de petites pattes frottent la totalité de mon vagin, c’est merveilleux !

— Oh c’est trop bon, vas-y papa, plus fort, oui !

Je la démonte comme jamais, ma fille pâme, elle grince des dents, sa tête bascule de gauche à droite, ses yeux sont exorbités, un filet de bave s’échappe à la commissure de ses lèvres. Mes coups de reins la comblent de bonheur, elle agite fortement son bassin, grogne, dit des mots inaudibles, soudain, elle se cabre et pousse un cri terrifiant qui nous surprend, elle jouit comme une dingue, donne de grands coups de bassins pour que je continue de la pilonner. Je me retire d’elle sans avoir éjaculé.