1. Innocente mais impudique Manon


    Datte: 28/06/2021, Catégories: jeunes, freresoeur, vacances, plage, bain, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation massage, nopéné, uro, portrait, prememois, Inceste / Tabou Auteur: Benoberna, Source: Revebebe

    Dans notre famille la nudité n’a jamais été un problème. Naturistes, fils de naturistes, mes parents nous emmenaient tous les étés au Cap d’Agde, dans ce centre qu’ils avaient connu du temps des frères Oltra, d’abord en camping puis dans les appartements qui commencèrent à y être construits avant qu’il ne devienne ce qu’il est aujourd’hui.
    
    Nus, nous passions nos journées, nus, nous nous promenions, nus nous nous baignions, nus nous faisions nos courses, sans que nous y voyions le moindre mal. Nous, car nous étions quatre, mes parents, Manon ma sœur jumelle, et moi, Fred.
    
    Les enfants que nous avions été avaient grandi, devenant de grands ados, puis de jeunes adultes, même si Manon m’a toujours considéré comme son petit frère puisque je suis né quelques minutes après elle. Nus nous vivions toujours durant notre mois de vacances.
    
    Cette année la mer était très bonne et nous passions de longs moments dans l’eau. Ceux qui connaissent cette plage savent qu’il faut aller loin du bord si l’on veut avoir de l’eau jusqu’au cou. Et c’est ce que nous faisions, nageant, plongeant, jouant et enfin faisant la planche pour nous reposer. Manon faisant la planche ! Un bonheur de voir son visage, ses seins, son pubis blond et la pointe de ses pieds sortir de l’eau alors que tout le reste était immergé, son corps ondulant au gré de l’eau. Je prenais un malin plaisir à plonger et à la bousculer en ressortant de l’eau entre ses jambes écartées. Ceci finissait toujours par une bagarre au ...
    ... cours de laquelle je tentais de lui faire boire la tasse, la tirant par un pied, par une main ou montant sur son dos.
    
    Je la laissais aussi, puisque j’étais son petit frère, me dominer, me bousculer lorsque moi-même je faisais la planche. Elle glissa un jour, ressortant de l’eau, sa tête entre mes jambes passées sur ses épaules, fermement maintenues par ses mains. Je me débattais comme je pouvais mais j’étais prisonnier. Je sentais ses cheveux sur mon sexe, ses épaules écrasant mes testicules. Pourvu qu’il ne se passe rien ! D’un coup de reins je me relevai, m’asseyant sur ses épaules. Elle disparut sous l’eau. Elle ressortit toussant, crachant ; j’avais gagné, elle avait bu la tasse.
    
    Un peu plus tard, cherchant sa vengeance, alors que je faisais à nouveau la planche, elle réapparut entre mes jambes, mais me faisant face cette fois-ci. De ses deux bras elle appuyait sur mon ventre pour m’empêcher de remonter, mes jambes passées sur ses épaules. La tête sous l’eau, je ne voyais rien mais j’imaginais le tableau : le visage de ma sœur collé à mon sexe. Comme je me débattais, celui-ci devait frotter sur sa bouche, son nez, ses yeux. À mon tour je bus une belle tasse et elle me lâcha enfin.
    
    — Heureusement que tu es mon frère et que personne ne nous a vus. J’ai cru que tu allais me faire manger ton sexe, me dit-elle tranquillement.
    
    Après avoir fait une course à la nage nous nous sommes arrêtés pour respirer un peu puisque nous avions pied. Alors que Manon me tournait le ...
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