Mamer et Jondlar
Datte: 28/06/2021,
Catégories:
fplusag,
ascendant,
Inceste / Tabou
historique,
Auteur: Vopicek, Source: Revebebe
... Il n’y en a pas à vendre ?
— Ce ne sont que des femmes, mais je veux bien. Combien tu m’en offres ?
— Il faut voir la marchandise.
C’est ainsi que les six femmes rescapées de l’attaque se retrouvent devant Jondlar qui repère tout de suite la mère de Mamer.
— J’en prendrai trois : celle-ci, celle-là, et pour finir celle-là ici. Je te les échange contre trois vaches porteuses.
— Cela me semble un bon prix. Affaire conclue. Au fait, il y en a deux qui sont aussi porteuses.
— C’est bien. Cela fera d’autres esclaves !
— Salut. Je vais en attendant remonter le Nil pour visiter le Lion qui peut-être fera affaire.
Évidemment, dès qu’il a le dos tourné, il se tourne vers celle qui semble être la mère de Mamer, enlève les liens qui les empêchent de marcher correctement et leur annonce :
— Je suis le bras droit de Mamer, et vous me semblez être sa mère.
— Non, pas sa mère, mais sa cousine ; sa mère fait partie du harem du chef, elle n’était pas à vendre. Les deux autres viennent du camp des Gazelles.
— Il y a réellement si peu de soldats maintenant ?
— Non, ils sont tous là : il n’a pas dit la vérité.
— Ils sont combien de combattants ?
— Une bonne centaine, mais seule un quart est motivé ; les trois-quarts sont des semi-esclaves combattants.
— Est-ce qu’il y a des faiblesses dans ce camp ?
— Oui. À l’opposé de la porte du côté de la forêt, il n’y a que peu de soldats, et la palissade n’est pas bien entretenue. On utilise cette sortie pour aller chercher du bois ...
... pour cuire.
— Intéressant ! Hé, les gars, vous continuez votre chemin ; je vais jeter un coup d’œil sur la palissade nord pour voir s’il y a quelque chose à faire. Effacez mes traces et foncez vers le camp du Lion.
Cheminant au milieu des papyrus le plus discrètement possible, Jondlar se faufile vers la partie nord du camp et voit qu’il y a encore une dizaine d’esclaves légèrement entravées qui sont occupées à ramasser des papyrus. Il n’y a qu’un surveillant. Lentement, il sort son couteau, et en rampant il s’approche et soudain l’égorge tout en mettant un doigt sur ses lèvres pour signifier le silence. Il s’approche du groupe d’esclaves et les délivre en leur annonçant qu’il les prend avec lui, mais il faut discrètement partir.
— Prenez avec vous quelques tiges de papyrus pour que nous effacions nos traces plus loin.
Ils partent tout d’abord vers le Nord, puis en arrivant vers une zone sableuse ils bifurquent vers l’Est en laissant traîner derrière eux les tiges de papyrus pour effacer les traces. Plus loin, ils partent carrément vers le Sud en espérant rejoindre la caravane de marchands. Toute la journée passe en mettant ce plan à exécution, et dans la soirée ils voient la caravane des marchands. Jondlar les fait accélérer avant que la nuit tombe dans l’espoir de trouver refuge dans le camp avant d’être rejoints par les troupes du Lion. C’est dans l’obscurité assez profonde qu’ils arrivent vers la porte, et à la lueur d’une torche les gardes reconnaissent Jondlar ...