La rousse
Datte: 28/06/2021,
Catégories:
fh,
frousses,
fdomine,
hdomine,
Oral
attache,
voisins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Petit bouquet, Source: Revebebe
Résumé de l’épisode précédent :Je vole des imagesBloqué dans mon appartement, je m’adonne à ma passion : la photo. Photos de femmes dans le parc devant chez moi. Jusqu’à ce que je découvre une rousse dans un immeuble à quelques mètres du mien.
—o–o—
Je vais me coucher. Mes tentures tirées, j’éteins dans le séjour et me dirige vers ma chambre. Lorsque j’arrive dans le corridor, j’entends le « ding » de l’ascenseur sur le palier. Bizarre… Qui peut bien venir chez moi à cette heure ? On frappe légèrement à ma porte. Comme je ne sais pas voir à travers le judas, trop haut, je me contente d’un bête :
— C’est qui ?
— Catherine.
— Quelle Catherine ?
— Catherine Dupavé… La fille d’en face.
Hein ? Alors ça ! Je déverrouille la porte, l’ouvre et me recule un peu.
— Bonsoir Vincent, je ne te dérange pas ?
— Euh, non, non.
— Je peux entrer ?
Je suis resté comme un crétin, la bouche ouverte, au milieu du chemin, manquant à tous mes devoirs de gentleman. Je fais marche arrière pour la laisser passer, mais cogne mon fauteuil au mur derrière moi.
— Pas facile, on dirait, de manœuvrer cet engin !
— Comme vous dites, c’est même souvent la galère.
Elle entre et referme la porte d’entrée, se place derrière moi et pousse le fauteuil vers le séjour. Elle s’arrête au milieu. Elle dépose son sac à main sur la table de la salle à manger, juste à côté de moi. Je peux la détailler : elle porte un chemisier blanc, une jupe noire dans une matière un peu élastique, des bas ...
... (ou des collants) noirs également et des chaussures plates. Elle me regarde, souriante. Visiblement, elle attend que je me lance. Un truc me turlupine. Elle connaît mon prénom et me tutoie.
— Comment connaissez-vous mon prénom ?
— Je me présente : Catherine Dupavé, capitaine à la brigade des mœurs.
Elle sort son badge de police de son sac et me le met sous le nez. J’en reste les bras ballants.
— Avec mon métier, j’ai pris l’habitude de me renseigner sur toutes les personnes de mon entourage. Et surtout sur ceux qui m’épient.
Je rougis d’un coup.
— Rassure-toi, je n’ai presque rien trouvé de répréhensible dans ton dossier.
— Presque ? Mais je n’ai jamais rien fait d’illégal !
— À part un excès de vitesse, il y a plusieurs années, non, rien de condamnable. Mais je pourrais mettre « voyeurisme » dans ton dossier, n’est-ce pas ?
Je ne sais plus où me mettre.
— T’inquiète pas. Je suis plutôt du genre exhibitionniste. Donc, ça ne me dérange pas trop. Je voulais te voir pour savoir à qui j’avais à faire. Je sais que tu as fait des photos de moi et je voudrais les voir. Où sont-elles ?
— Dans mon ordi…
Et merde, j’ai parlé trop vite. Elle va voir toutes mes photos… Toutes ! Bon, en général, ce n’est pas bien méchant, mais il y a tout de même l’une ou l’autre un peu plus « hot ».
— Montre-moi.
Toujours son ton qui ne souffre aucune contestation. Je me dirige vers mon portable, et j’ouvre le dossier « Rousse » que j’ai réalisé sur elle. Je lance le ...