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Le café de ma rue (1)
Datte: 28/06/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Anonyme, Source: Xstory
... gober mon gland. Je n’ai pu réprimer un grognement de plaisir. Non, de pure extase. C’était irréel. C’était tellement bon que je devais lutter pour ne pas me laisser aller trop vite dans cette bouche si chaude et si gourmande. Les yeux fermés, adossé à la banquette de mon café préféré, je sentais Laure qui commençait à aller et venir lentement sur ma hampe. Puis c’est la sensation d’une langue sur mes testicules qui m’a fait ouvrir les yeux. Sophie s’était glissée sous la table pour nous rejoindre. Je me suis mis à grogner de plaisir, c’était bien trop bon. Laure et Sophie échangeaient mon sexe comme bon leur semblait. Quand l’une avait mon membre en bouche, l’autre me léchait les testicules. Et quand ni l’une ni l’autre ne s’affairait sur moi, c’était pour se rouler des pelles baveuses au-dessus de mon sexe palpitant. Puis elles se sont relevées, toujours en s’embrassant. A ce moment-là, je n’existais plus. J’avais repris mon rôle d’observateur. Sophie a poussé Laure contre la table avec tendresse, puis s’est laissée glisser à nouveau entre ses cuisses. Je l’ai regardée y mettre la bouche, l’embrasser lentement, titiller ses lèvres du bout de la langue, remonter sur son clitoris déjà bien excité. Ses mains allaient et venaient le long de ses cuisses. J’avais terriblement envie d’être à sa place, mais je suis resté en retrait. Je l’ai regardée glisser ses doigts dans le sexe lisse et détrempé de Laure, lui soutirant des gémissements qui résonnaient dans le café vide. Après ...
... cinq minutes de ce traitement, Sophie s’est relevée. Elle a glissé sa bouche contre le corps de Laure, remontant jusqu’à son nombril, puis ses seins qu’elle a entrepris de lécher et sucer. Puis elle est montée sur la table, a chevauché son amie, et les deux filles se sont embrassées à nouveau, frottant leurs deux corps l’un contre l’autre. Quand leurs bouches se sont enfin séparées, Laure a passé sa tête par-dessus l’épaule de Sophie et m’a souri. — Venez, a-t-elle dit doucement, rejoignez-nous. Venez nous prendre. J’ai une capote dans la poche de mon jean. Sans hésiter, j’ai récupéré le bout de latex dans le pantalon de Laure, l’ai sorti de son emballage, et ai emballé mon sexe avec. Je bandais comme rarement. Je me suis alors avancé entre ces deux paires de jambes, et il a fallu que je fasse un choix. J’ai finalement posé ma main sur la hanche de Sophia, et de mon autre main, j’ai glissé mon sexe dans celui de Laure. Après tout, c’est elle qui avait demandé. J’y suis allé doucement, presque fébrilement. Je ne voulais ni les brusquer, ni partir trop vite. Je n’arrivais presque plus à respirer, tant le plaisir était grand. Le souffle court, j’ai fini par m’enfoncer entièrement en elle, flattant au passage la croupe délicieuse de Sophie. Puis j’ai commencé à aller et venir, accélérant progressivement. Laure gémissait. Les yeux fermés, la bouche ouverte, elle aussi se cramponnait au fessier de sa collègue. J’ai compris, en regardant entre leurs cuisses, que c’était aussi ...