1. Ma cousine France-Agnès


    Datte: 25/06/2021, Catégories: fh, jeunes, Inceste / Tabou poilu(e)s, campagne, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, BDSM / Fétichisme nopéné, init, Auteur: Lucien, Source: Revebebe

    ... regretteras vraiment pas et après je te décrirai à mon tour comment j’ai fait…
    — « La première fois que je l’ai réellement fait… Depuis pas mal de temps, je m’étais bien sûr rendu compte que ma verge grandissait et surtout qu’elle durcissait lorsque j’étais excité par des pensées, des vues dérobées de haut de cuisses ou de poitrines presque dénudées de jolies filles soit dans un film, des revues, mais surtout dans la réalité. Un soir, en me couchant, le seul poids du drap sur mon sexe m’excita et je sentis ma verge se tendre, je soulevais alors le drap pour me rendre compte de sa taille et je la vis dressée comme un piquet. Jamais je ne l’avais sentie aussi raide, ma main inconsciemment enserra la tige que je sentais battre et se durcir exactement au même rythme que mon cœur qui cognait très fort. Le gland était écarlate et déjà à moitié décalotté… »
    — Oui, Lucien, continue c’est super, tu racontes vraiment très bien pour quelqu’un qui n’a encore jamais fait ce genre de confidences. J’adore tes descriptions ainsi que tous les détails que tu me donnes, ça m’excite terriblement tu sais…
    
    Tout en marchant, elle passait la main sur la robe à la hauteur de son ventre et même de sa culotte, je voyais sa langue humide caresser ses lèvres par instants… De temps en temps, elle se tournait vers moi et, les yeux pétillants, elle attendait avec impatience la suite du récit.
    
    Le chemin que nous suivions avait pénétré dans la forêt et il arrivait maintenant à côté d’une aire de ...
    ... pique-nique avec des tables et des bancs en bois. France-Agnès se tourna vers moi :
    
    — Lucien, et si on s’asseyait pendant que tu continues à me raconter tes caresses ?
    — D’accord France-Agnès, répondis-je en me dirigeant vers un banc accroché à une table en bois.
    — C’est dommage, le bois est encore un peu humide, si je m’assieds, je vais me salir les fesses… dit France-Agnès en me regardant.
    
    Heureusement, pour une fois, j’avais un mouchoir propre dans ma poche et je le lui tendis avec fierté et plaisir. Elle le prit avec un large sourire et l’étala soigneusement, non pas sur le banc comme je le pensais, mais sur le bord de la table. Elle mit une main sur mon épaule, monta debout sur le banc, se retourna et remontant sa robe au-dessus de ses fesses elle s’assit, en posant son derrière arrondi sur le mouchoir et en plaçant les pieds sur le banc. Je pus encore une fois voir ses fesses un court instant lorsqu’elle releva sa robe pour éviter de la froisser.
    
    — Viens Lucien, assieds-toi sur le banc en face de moi, ce sera plus agréable de se parler tout en se regardant.
    
    J’enfourchais le banc et je me plaçais en face d’elle, ses jambes à mon côté gauche. France-Agnès posa les mains sur la table, de chaque côté de ses fesses, légèrement en retrait. Elle s’appuya un instant sur les bras en s’inclinant un peu en arrière, cambrant le buste, ses seins se tendirent et la robe se plaqua dessus laissant même deviner la forme des pointes sous le fin tissu. La robe était remontée très ...
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