1. Marie, Henry et moi


    Datte: 25/06/2021, Catégories: Anal Hardcore, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: ahtile, Source: xHamster

    ... fesses. La seconde caresse délicatement son anus lubrifié et écarte largement les deux globes de ses merveilleuses fesses. En une petite flexion supplémentaire, elle fait pénétrer mon gland dans son fondement. Marie joue de ses sphincters et adresse une merveilleuse caresse à mon gland. La succession de contractions et décontractions des ses muscles me mène tout près de l’extase. Elle me laisse à la porte du bonheur, pose ses mains sur mes genoux joints et fait glisser mon pieu jusqu’au fond de ses intestins dans un hurlement. Un hurlement de plaisir que je connais parfaitement chez Marie, mais inconnu de son homme. Henry, un peu affolé, la regarde d’un air inquiet, l’envie de s’approcher de sa femme lui traverse certainement l’esprit, mais il reste immobile, son étendard au garde à vous.
    
    C’est quand j’ai vu les yeux exorbités d’Henry, au moment ou Marie a basculé en arrière, posant ses pieds sur mes genoux, que j’ai compris. Henry venait de comprendre, Marie s’était elle même sodomisée. Lui qui s’était déjà inquiété des douleurs potentielles de sa femme lors de la pénétration dite classique, était cette fois complètement angoissé à l’idée de voir les dégâts occasionnés par le passage d’un engin hors norme dans le rectum de son épouse.
    
    Mes mains enfin libres, je profitais de cette nouvelle position pour venir caresser les seins de Marie. A travers le tissu soyeux de son bustier, puis la peau douce du haut de sa poitrine. Mes doigts se promènent lentement et ...
    ... délicatement, faisant de petits cercles concentriques et prenant la direction des tétons tout aussi bandés que mon membre planté entre ses fesses. La rigidité de ses petits tétons exprimait l’état d’excitation dans lequel se trouvait Marie. Quand mes doigts ont atteint ses deux boutons hypersensibles, elle a gémit, mais quand, d’une pression, j’ai appuyé mes doigts et enfoncé les deux bourgeons, comme les valves d’une bouée après le gonflage, Marie s’est mise à vibrer, à trembler, à jouir, elle a été traversé par un nouvel orgasme. Un orgasme différent, d’un genre nouveau, moins profond, moins puissant, mais plus soudain, totalement inattendu. J’ai gardé ses tétons enfoncés dans ses chairs pendant toute la durée de l’extase, espérant prolonger ce moment nouveau. Marie était inerte, ma bite fichée dans le cul, les tétons écrasés sous mes doigts, elle profitait de son troisième orgasme de la soirée. Henry était béat d’admiration devant les plaisirs à répétition de sa femme. Il l’admirait et la trouvait magnifique. Elle paraissait heureuse, et cela suffisait à son bonheur.
    
    Marie pose ses mains sur les miennes, puis se relève légèrement pour venir les poser dans son dos, sur mes muscles pectoraux. Les pieds toujours posés sur mes genoux, elle entame un petit va et vient. Elle soulève légèrement ses fesses, puis les repose délicatement avant de recommencer. Le mouvement sont lent et l’amplitude courte, au rythme de sa respiration, elle gémit doucement. Marie alterne les mouvements de ...
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