1. La punition de la directrice (4)


    Datte: 25/06/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Docsevere, Source: Xstory

    ... d’avoir 70 ans, tout de même… ? Quoique… » ricané-je, « ça reste toujours possible… d’ailleurs je l’ai déjà fait… Et je peux vous dire que la femme m’a grandement remercié… Elle en pleurait presque de joie et de plaisir… et pour me remercier, moi, son bienfaiteur, elle m’a pompé jusqu’au bout, m’a fait éjaculer dans sa bouche et a tout avalé à longs traits… Mais bon ça, ça sera pour la fin, chaque chose en son temps…
    
    Pour le moment, je suis en forme comme jamais, je n’ai jamais eu mon vit aussi raide - et ça, c’est à cause l’effet que vous me faites - vous allez vous en prendre plein votre cul ! »
    
    Ah, elle ne fait plus sa fière, maintenant… Si ses employés la voyaient à l’instant, attachée et ficelée comme une truie sur l’étal, se faire défoncer la rondelle… ils n’auraient plus la même vision : ils ne verraient plus la directrice autoritaire et hautaine, dictatoriale, les toisant du haut de son mépris et de son mètre 77. Non ils verraient une gourdasse vêtue que de ses bottes, à plat ventre, le fessier bien déployé, en train de se faire saillir à grands coups de reins, de se faire démonter et élargir le petit à grands coups de mandrin !
    
    Mais ça n’a pas l’air de trop lui déplaire : sa cyprine coule abondamment, rendant sa vulve rose toute luisante, et elle commence à râler d’une drôle de façon. Est-ce d’être ainsi dominée, entravée, bondée, réduite à l’impuissance, à la merci du mâle en rut qui prend son plaisir avec ce corps pulpeux de femme mûre ou est-ce cette ...
    ... façon nouvelle pour elle de se faire pilonner, cette pratique encore inconnue d’elle il y a encore quelques instants, cette nouvelle façon de donner du plaisir à un homme (et d’en prendre), pourtant vieux comme le monde ?
    
    ° ° °
    
    J’ai menti en disant que j’étais vierge. J’ai déjà été sodomisée mais je n’ai pas aimé et puis c’était loin d’être fait avec un membre aussi gros.
    
    Mais là je paie pour mon mensonge comme pour le reste de mes transgressions. Il me rentre sa grosse queue d’étalon avec passion. Il semble aimer souiller ainsi une femme d’affaires, d’apparence classe comme moi.
    
    Il grogne à chaque coup de reins brutal et vengeur dans mon cul, et cela s’harmonise avec mes petits cris et le crissement de mes bottes contre les pieds de la table.
    
    Lorsqu’il me regarde dans le miroir il voit que, bien que crispé, mon visage ne semble plus montrer que de la souffrance mais un mélange de douleur et plaisir, plaisir de la soumission à cet homme qui me brutalise.
    
    Je me dis que je ne souhaiterais pas éprouver du plaisir mais que je n’en ai pas le choix.
    
    Un moyen de défense intellectuel. Je sens au fond de moi la sensation d’un orgasme se bâtissant, grossissant.
    
    Dans le miroir il voit mes yeux rouler en arrière, ma bouche ouverte pour prendre des inspirations hachées. Je ne me plains plus, je gémis, je râle.
    
    Mon petit trou baille grand ouvert lorsque il retire sa queue.
    
    Il va de plus en plus vite et me sent trembler. Je suis prise de soubresauts, je me ...