1. Il n'est jamais trop tard


    Datte: 24/06/2021, Catégories: fh, fhh, hagé, fagée, couple, cocus, Oral Partouze / Groupe fsodo, init, couple+h, cocucont, Auteur: RobertAnne62, Source: Revebebe

    ... qui devait lui éviter de se transformer en aguicheuse.
    
    Le jour choisi, notre ami se présente à la maison afin de me donner un coup de main pour un problème de plomberie dans la cuisine. Le ciel est avec nous car il fait si chaud qu’Anne peut, sans provocation, porter un petit short qui lui moule les fesses et la fente, combiné avec un haut qui met en valeur ses seins libres de toute contrainte. Georges, que j’ai mis dans la confidence sans le dire à ma femme, est de son côté en tenue très décontractée, comme il convient à un ami bricoleur.
    
    Comme convenu, prétextant la nécessité d’aller acheter une pièce manquante, je propose qu’ils mangent sans m’attendre car il faut bien une heure pour aller au supermarché du bricolage.
    
    En réalité, je gare la voiture une rue plus loin et reviens me glisser par la fenêtre du salon que j’ai laissée entrouverte, me dissimulant derrière le rideau tiré. Aucun des deux n’imagine que je suis là car je leur ai menti. Pour Georges, je suis chez la voisine avec la ferme intention de profiter de ce moment de liberté. Quant à ma femme, j’ai prétexté qu’elle serait plus à l’aise si je n’étais pas présent, mais que je regarderais plus tard le film enregistré par la caméra que j’avais positionnée et testée avec soin, demandant en échange qu’elle fasse le nécessaire pour attirer son amant dans le champ.
    
    Ils n’ont pas perdu de temps car Georges est déjà en train de déshabiller sa partenaire qui proteste bien mollement par des « non, Georges, il ...
    ... ne faut pas », mais en même temps lui facilite la tâche en levant les bras pour se retrouver la poitrine offerte aux caresses. Je peux voir ses petits tétons afficher l’excitation de leur maîtresse et si j’avais craint un refus d’Anne de franchir l’obstacle au dernier moment, ce n’est plus d’actualité.
    
    Mais son partenaire ne s’attarde pas, voulant certainement pousser son avantage et profiter de sa faiblesse pour faire glisser lentement le short qui est si moulant que ma femme doit l’aider. Il ne reste plus que le minislip déjà humide qui enfin laisse apparaître le pubis et la fente de la belle. Lui, à genoux, se penche en avant pour embrasser l’objet de son futur plaisir, mais déjà il se relève, soulève ma femme et la fait s’asseoir sur la table pour la coucher les jambes pendantes, qu’elle écarte largement, dans un geste d’offrande à son amant. Avant que celui-ci ne me cache ce paysage par sa nuque, j’ai le temps de remarquer que ma tendre épouse a pratiquement fait disparaître la toison brune qui protégeait, jusqu’à ce jour, son intimité. Combien de fois n’ai-je pas demandé qu’elle taille ou rase ou épile cet endroit pour me l’offrir plus facilement, ainsi qu’on peut le voir partout ?
    
    Pendant ce temps, je vois Georges qui s’active – ou plus exactement, je devine car je ne vois que sa nuque – dans l’entrejambe de mon épouse qui, manifestement, apprécie ce traitement. J’imagine la langue qui écarte les petites lèvres pour se glisser à l’intérieur où je suis sûr qu’une ...
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