1. Vingt-cinq ans plus tard


    Datte: 24/06/2021, Catégories: fh, copains, massage, Oral 69, pénétratio, amiamour, regrets, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... que je me suis retrouvée assise sur son sexe, à genoux, face au miroir. Ce n’était pas moi, pas possible que ce soit moi cette femme mature pourtant encore belle qui allait et venait sur une queue gourmande. Ça ne pouvait pas être mes mains sur mes seins, ma bouche ouverte et mes yeux hagards.
    
    Quand je me suis entendue hurler que c’était bon, l’écho m’a répondu qu’il adorait mon cul, cul qu’il avait en gros plan et qu’il pétrissait. J’ai pris appui sur ses genoux pour qu’il voie encore mieux, qu’il se régale, et qu’il continue de me défoncer. Une vague m’a emportée en même temps qu’il se répandait en moi, grognant comme un cochon. J’avais oublié l’espace d’une fulgurance que ce n’était pas mon compagnon qui venait de me remplir la chatte, mais Alain, mon ami. Et pourtant c’est à Yann que je pensais à ce moment-là. J’étais persuadée, sans savoir dire pourquoi, qu’il aurait été heureux de me voir prendre un tel pied. Et un peu moins heureux que ce soit avec Alain.
    
    Nous avons fait l’amour encore une fois peu après, plus tendrement, face à face, sa grande carcasse sur mon corps ...
    ... menu, sa bouche contre la mienne, mes jambes croisées dans son dos, son sexe et le mien en fusion sensuelle. Fait l’amour, oui, on peut dire ça, comme le font les vieux couples, sans se poser de questions. Il m’a amenée tout doucement à une douce jouissance, lente à s’installer, et qui a duré longtemps, très longtemps. Comme s’il me connaissait par cœur, il a su donner le bon rythme, alterner les tortures que constituent une pénétration de ma vulve seulement, et les profondes étreintes ; il a su mettre mon vagin en tension progressivement tout en frottant astucieusement mon clito, de sorte que ce fut l’une des rares fois où j’ai eu l’impression de jouir totalement, de partout.
    
    Le sommeil nous a ensuite emportés, paisible au début, et de plus en plus agité. Je me suis revue, offerte comme une moins que rien à sa bite, à ses mains, à ses yeux, à sa langue, à ses caresses. Je me suis sentie sale et moche, pleine de honte. J’ai quitté le lit pour aller reprendre une douche. Quand j’en suis sortie, Alain dormait toujours, l’air heureux.
    
    Peut-on revenir vingt-cinq ans en arrière ? 
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