1. Mes amies d'enfance (4)


    Datte: 16/05/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Loco2016, Source: Xstory

    ... son maillot et la fourre sur le champ. Mes va-et-vient provoquent des vagues. Ses seins sont tellement gros et lourds qu’ils pendent contre le dallage. Je ne suis peut-être qu’un enfoiré, mais sa chatte est juste trop bonne ; et puis, je l’aime tellement.
    
    — Emilie, fais-je en soupirant.
    
    — Clay… me murmure-t-elle.
    
    Ce n’est que la deuxième fois que nous baisons, pour elle, c’est sa deuxième fois tout court, je ne m’attendais pas à ce qu’elle réclame comme ça un coup de bite, elle qui est si innocente. C’est beau de la voir assumer ses désirs, et encore plus de savoir que c’est moi qui la met dans cet état.
    
    — Clay ?
    
    — Oui, ma chérie ?
    
    — Tu… tu veux bien m’enculer s’il te plait ?
    
    Oh putain, la petite salope...
    
    Je sors ma queue de son vagin pour lui bourrer le fion. Je ne pensais pas que je tomberais un jour sur une fille qui me le demande spontanément. Son cul est tellement divin que je pourrais définitivement me passer de sa chatte. Je lui attrape les nibards et les presses tellement ils m’excitent. Je me courbe sur elle pour la prendre comme un animal. Elle tourne le visage vers moi pour m’embrasser, son regard dégage tellement de passion.
    
    J’augmente la cadence. Nous ne faisons plus l’amour, nous copulons. Si je suis le dernier des salauds, elle, c’est une chienne qui ne demande qu’à se faire saillir. Nous nous laissons aller au plaisir et à nos instincts. Lorsque je la sens jouir, je ne peux plus me retenir et vient avec elle. Je grogne en ...
    ... déchargeant mon sperme au fond de son petit trou. Après cela, nous nous enlaçons l’un contre l’autre heureux et repus, puis elle me quitte une dizaine de minutes plus tard, le cul débordant de foutre. Je ne me sens pas mieux en la suivant pour retrouver ma chambre.
    
    Les jours suivants, malgré mon mal-être, je ne peux pourtant pas m’empêcher de baiser dans tous les coins. Devoir gérer Kamille et Elena en même temps, c’était déjà épuisant, mais là, c’est devenu carrément un sport olympique. Elles me chauffent et me font des signes dès qu’elles en ont l’occasion pour me faire savoir qu’elles ont envie de moi. Les seuls moments où je ne bande pas, c’est quand ma queue vient de tirer son coup. Elles cherchent toutes des excuses pour essayer de se retrouver seule en tête à tête en ma compagnie, c’est limite si elles ne s’engueulent pas parfois. Je prends un pied d’enfer, elles sont toutes une façon différente de faire l’amour. Emilie est du genre soumise, je prends alors un malin plaisir à lui faire prendre des initiatives. Depuis que j’ai pu lui faire avaler du sperme en éjaculant dans sa bouche, elle le fait souvent toute seule. Elena est une véritable femme libérée, sans complexe, sans gêne, irradiante d’érotisme. Quant à Kamille… elle apprend à assumer ses instincts et n’a pas peur d’être crue et bestiale : « Pilonne-moi avec ta queue ! Salaud ! » « Je vais te sucer à t’en vider les couilles. » « Baise-moi plus fort putain ! Je ne suis pas faite en carton ! »
    
    Je ne me l’étais jamais ...
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