Morahia
Datte: 23/06/2021,
Catégories:
fh,
asie,
volupté,
Oral
pénétratio,
conte,
Auteur: Jean-Marc Manenti, Source: Revebebe
... Li reposa sa bière et sembla ailleurs pendant un court moment. Elle se leva et vint s’asseoir sur mon accoudoir.
— Vous avez rencontré ma grand-mère. C’est elle Morahia. Laissa-t-elle tomber, l’air grave.
— Votre grand-mère ? Impossible, elle était si jeune ! Fis-je, étonné.
— En fait, ma grand-mère est morte très âgée, depuis bientôt 18 ans, j’en avais 5, j’ai peu de souvenirs d’elle. Ajouta Tchen Li.
— Vous vous moquez de moi, hein ! Bredouillai-je.
La jeune fille posa sa main sur mon bras, l’air toujours aussi sérieux.
— Ma grand-mère vivait encore à l’ancienne… Elle était… Comment dire… Une sorte de Chamane. Elle possédait des dons… Des pouvoirs étranges… Oui, c’est difficile à croire, mais c’est ce que mes parents m’ont appris tout au long de mon enfance.
— Alors, j’ai donc rêvé ? M’enquis-je, toujours sceptique.
— Non, c’était bien plus qu’un songe ! Vous avez réellement fait l’amour avec Morahia. Elle vous a transporté dans le temps, jusqu’à elle.
— C’est impossible ! Je deviens fou ! Soupirai-je, totalement ébranlé.
— Je ne vous ai pas tout dit… Cette fameuse nuit, j’ai rêvé… J’ai rêvé de vous !
— De moi ?
— Oui, nous nous sommes rencontrés… Je pense que… Comment le dire… Je pense que Morahia a voulu préparer notre rencontre. Vous savez, depuis cette nuit-là, je ne cesse de penser à vous.
— Nous étions donc destinés à nous rencontrer ? Lui demandais-je, abasourdi.
— Oui, Morahia a poussé le destin. Dans mon rêve, vous aviez un petit tatouage ...
... au-dessus du nombril.
Complètement "sur le cul", je soulevais mon pull pour lui montrer les deux glaives qui se croisaient au-dessus de mon nombril.
Un large sourire éclaira son beau visage. Soudain pris d’une bouffée d’amour euphorique, sans crier gare, je la basculai en travers de mes genoux et lui soulevai son tee-shirt, elle ne portait pas de soutien-gorge.
— Vous avez les mêmes jolis seins fermes et les mêmes tétons que Morahia. Lui fis-je remarquer.
— Tout le monde dans la famille aime à dire que je lui ressemble comme deux gouttes d’eau.
Sans un mot, nous nous jaugeâmes du regard pendant un long moment.
— Vous me faites penser à une fleur de lotus… Un peu comme votre… grand-mère, un sage lotus.
Nos bouches se soudèrent pour un long baiser passionné. Nos langues se touchèrent, se caressèrent, s’enroulèrent l’une à l’autre. Je profitai de ce moment de volupté pour ouvrir le bouton de son jean et tirer sur le zip de sa braguette. Sans quitter mes lèvres, Tchen Li souleva ses fesses pour m’aider à descendre son pantalon. Je plaquai doucement ma main à la fourche de ses cuisses, sur sa fine culotte de soie. Elle était si fine, que je sentais les poils de son pubis au travers du tissu satiné.
— Il faut que je vous dise, je suis vierge. Me prévint-elle en se redressant pour ôter son tee-shirt.
— Si vous le voulez, je peux rester sage. Je ne vous manquerai pas de respect…
— Je ne suis pas un sage lotus comme Morahia, je serai votre lotus d’amour. Allons dans ...