1. Svéa ou l'apprentissage de l'exhibition


    Datte: 23/06/2021, Catégories: ff, fff, frousses, profélève, fépilée, école, noculotte, nopéné, fsoumisaf, Auteur: T'Chet, Source: Revebebe

    ... de regarder avec insistance et d’ajouter :
    
    — Cette tenue te va très bien, tu es magnifique, tes jambes sont superbes et ce que j’entrevois plus bas est très appétissant. Je remarque que tu es épilée ?
    — Oui, je n’aime pas les poils, ce n’est pas très hygiénique.
    — Tu as tout à fait raison, moi-même je suis entièrement épilée.
    
    Ceci étant dit, nous démarrons pour la maison d’Anaïs. Il faut traverser un bout de la ville proche pour se rendre chez Anaïs et les conducteurs des quelques voitures que nous dépassons ne manquent pas de reluquer entre mes cuisses.
    
    Anaïs le voit.
    
    — Écarte un peu plus les cuisses, me demanda-t-elle.
    
    Me voyant hésitante, elle insiste.
    
    — Fais ce que je te dis, Svea.
    
    Malgré moi, je ne peux m’empêcher d’obéir et j’écarte les cuisses le plus que je peux. Du coup le reste de tissu qui masque encore un peu mon intimité se roule en ceinture sur mon ventre. Et du coup, n’importe qui peut voir mon sexe dans son plus simple appareil.
    
    Je commence à avoir des fourmillements dans le bas-ventre, je me sens excitée par ce petit jeu et Anaïs me dit :
    
    — Tu veux qu’on s’arrête quelque part, boire un verre avant de rentrer ? Je connais un petit bar sympa, à la sortie de la ville, c’est sur notre route.
    
    Et moi, sans réfléchir du tout, est-ce dû à l’excitation ?
    
    — Oh oui, pourquoi pas.
    
    Quelques centaines de mettre de plus loin, Anaïs gare la voiture sur le parking d’un petit château entièrement bordé d’arbres, très beau et très ...
    ... tranquille, vu son relatif isolement.
    
    Une fois sorties de la voiture, Anaïs vient vers moi pour réajuster ma robe sans oublier au passage de caresser mes seins en remettant mon haut en ordre, mais à sa façon, juste le bord du décolleté sur mes aréoles pour bien montrer la moitié de mes seins, et sans oublier de me caresser le mont de vénus en réglant quelques détails de hauteur de jupe, également à sa façon, bas de la jupe au même niveau que le pli du bas de mes fesses. Celle ou celui qui me suivrait quand je marche verrait ma petite fente.
    
    Je tente bien de râler un peu, mais rien ne fait.
    
    J’ai juste oublié de dire comment Anaïs est vêtue pour cette occasion : un pantalon en cuir moulant, des talons hauts et une veste en cuir attachée par un seul bouton central ce qui permet de voir une bonne partie de la naissance de ses seins qui, vus de la sorte, apparaissent bien gros, ronds et fermes, et sans soutien-gorge.
    
    — Viens, me dit-elle en me prenant la main comme les amoureux, les doigts entrelacés.
    — Mais tous les hommes de ce bar vont me voir, comme ça.
    — Ne te tracasse pas, il n’y a pas d’homme ici.
    
    Je ne comprendrai cette réponse qu’une fois entrée. C’est très sombre, il fait chaud et moite, une musique douce me chatouille les oreilles. Anaïs me guide jusqu’au bar où une très jolie rousse d’environ 25 ans assure le service.
    
    — Bonjour, Isabelle, dit Anaïs.
    — Bonjour, Anaïs.
    — Je te présente une amie, Svea. Svea, je te présente Isabelle.
    — Enchantée, Isabelle.
    — ...
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