1. S'envoyer en l'air.


    Datte: 23/06/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alain40, Source: Hds

    ... vais jouir de mon clitoris que je masse énergiquement. Ma lampe m'amène au ciel... il y-aurait-il un génié à l'intérieur. Je crie maintenant, je viens, je viens... Dans un dernier souffle je m'effondre exténuée de cette journée.
    
    Je veux dormir mais n'y arrive pas. Je pense à toi mon cochon.
    
    00h00 ; il n'est pas trop tard pour t'envoyer un SMS ? Oui sûrement mais je le fais.
    
    « Merci pour cette journée. C'était très agréable pour moi.. Pour toi aussi j'espère. Lucille ».
    
    Mais diantre, il n'y a pas que mes yeux qui sont allumeurs.
    
    « Pour moi c'est mon métier » me répond ce connard.
    
    « Je crois que tu es allé bien plus loin que ton métier... »
    
    « C'était très bon » avoue t-il enfin.
    
    « Ah oui très très bon et à recommencer.... » j'ajoute. « C'était bon de s'envoyer en l'air quand-même ». Je ne suis plus une allumeuse là... plutôt une salope. « Tu veux recommencer ? » me propose t-il .
    
    Il n'est pas si timide l'éjaculateur aérien.
    
    Je feins de comprendre... « Tu as un avion si tard à me proposer... »
    
    « Non un lit. »
    
    Cinquante minutes trop logues plus tard plus tard il était chez moi.
    
    Je n'avais pas fermé la porte. Il est rentré à tâtons. Il m'a trouvée dans le salon face à lui, assise nue sur une chaise, une cravate à peine nouée autour du cou, une jambe ua sol, l'autre pliée sur la chaise... Oui comme Pretty Woman attendant Richard Gere.
    
    Il s'est approché de moi en enlevant son t-shirt. A ouvert sa ceinture. J'ai déboutonné son pantalon ...
    ... et ai fait glisser sa braguette le long de sa verge (il avait prévu de pas mettre de caleçon). Elle n'était ni grande ni petite, mais fièrement dressée. Mes lèvres vinrent l'enserrer sous son râle de plaisir. Mes mains accrochées à ses fesses accompagnaient ma bouche qui le gobait. Ses couilles étaient lourdes malgré qu'elles se soient vidées ce matin. Douces et rasées, elles étaient bonnes à mordiller.
    
    Il me tira par le bout de ma cravate m'amenant à me coucher ventre sur le lit. Il s'est agenouillé puis a baladé ses mains sur tout mon corps, puis s'est fait plus précis en s’engouffrant dans ma féminité la plus humide. Ce que ses mains étaient fermes et savaient où m’emmener, Je ne pouvais contrôler de petits cris sauvages. Sa bouche est venue se déposer sur mes fesses. Sa langue sortie m'explora l'anus qui se détendait. Il sortit une capote... le moment tant attendu allait arriver... Sa verge se rapprocha de ma chatte, mais je le l'arrêta et lui sussura « Encule moi »... ces deux mots sont d'une vulgarité extrême mais susurrés, devienennt d'un vertige ahurissant. J'avais les bras en croix quand il me déchira l'entrée obscure. Ses bras recouvraient les miens. Nous avions ainsi la même position que lors du saut en parachute. Il bandait très fort. Je jouissais en permanence. Il éclata en moi de jets violents.
    
    C'est bon de s'envoyer en l'air.
    
    Encore m'envoyer en l'air.
    
    Encore un matin difficile. Le même train-train. On se lève comme un zombie. Douche, café et ...
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