Hélène de Crète - 2ème épisode
Datte: 22/06/2021,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
bain,
campagne,
amour,
Oral
pénétratio,
fantastiqu,
Auteur: Tylodine, Source: Revebebe
... seins pour plaquer ma tête au creux de ta féminité, je sens que tu trembles soudain tandis que la fontaine s’épanche… tu jouis et m’attires sur toi.
Nos bouches se trouvent et se mordent, sens-tu sur mes lèvres le goût de ton miel ?
Ma verge douloureuse cherche la douceur de ta chair humide, glisse doucement sur tes nymphes brûlantes.
Un petit cri d’impatience t’échappe tandis que ta main droite se glisse entre nous… m’attrape sans ménagement et me guide vers le but… Je fais emblant de résister, caresse de mon gland le petit lutin encapuchonné qui garde l’entrée tandis que les ongles de ta main gauche me griffent le dos.
Cette fois, je n’en puis plus et je me glisse d’un coup en toi, ou est-ce toi qui t’es glissée autour de moi ?
La sensation est si intense que pendant un court instant nous sommes restés immobiles, tes jambes croisées sur mon dos, bouches soudées, souffle court.
Puis, prenant appui de mes genoux sur la mousse épaisse, j’ai reculé une première fois, sortant presque mon gland de son brûlant fourreau ; une pression de ses jambes sur mon dos m’a fait comprendre que le retour était souhaité…
J’ai brièvement pensé à ces amulettes grecques qu’on trouve dans toutes les boutiques pour touristes… des petits dieux « Priape » dotés d’un phallus énorme. Je n’ai pas ce fantasme et ne suis pas doté d’un outil plus ...
... gros que la moyenne, mais à cet instant, rien d’autre n’existait que ma verge gorgée de sang plongeant dans le corps avide d’Hélène. Partir et revenir… doucement d’abord, puis insensiblement, pousser le rythme jusqu’au paroxysme.
Lorsque, de nouveau, je sentis, sous moi, son corps secoué de spasmes, j’étais au bord de l’explosion et laissais d’un coup s’ouvrir les vannes de ma jouissance.
Pas d’étoiles, ni de feu d’artifice, une communion toute païenne, union fugitive des corps et de l’esprit, moment que l’on voudrait éternel où s’abolissent les saletés de la vie quotidienne tandis que fusionnent les sens.
Qui de nous deux a crié ? L’avons-nous vraiment rêvé ?
Allongés sur notre lit de mousse, Hélène blottie dans mes bras, moi qui ne crois en rien de sacré, je remercie la déesse aux serpents dont les seins ronds brillent dans la pénombre.
Lorsque nous nous levons, seule trace visible de nos ébats, un filet de sperme coule sur la cuisse de ma compagne.
Elle me regarde, les yeux brillants, le recueille de la main et en enduit la poitrine de la statue.
— Efkharisto, mitaïra. ****
Je la contemple, interdit :
— Tu parles grec, Hélène ?
— Euh, non… pas jusqu’à présent, mais ça m’est venu comme ça !
Fin de la deuxième partie
* Comment ça va ?
** Bien, et toi ?
*** Parlez-vous grec ?
**** Merci, mère.