1. Un séjour des plus troublants


    Datte: 21/06/2021, Catégories: f, h, fh, hplusag, hagé, fagée, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, ffontaine, Masturbation 69, pénétratio, fsodo, amiamour, Auteur: Xéna 75015, Source: Revebebe

    ... dans son for intérieur que de toute façon elle ne peut savoir que c’est lui le narrateur sur l’histoire du débarquement de Normandie, étant donné qu’elle dormait profondément. De son côté, tout en dînant, Philomène regarde l’horizon. Elle se réjouit d’avoir choisi cette ville pour son séjour car elle se sent bien. Après avoir dîné avec appétit, elle demande au maître d’hôtel si elle peut prendre son café sur la terrasse pour fumer une cigarette avant de remonter dans sa chambre.
    
    — Oui, bien sûr vous pouvez ! Je vous amène votre café ainsi que l’addition ; vous n’aurez qu’à signer en mettant votre numéro de chambre. Vous réglerez le tout à votre départ.
    
    Avec un sourire à faire pâlir un saint, Philomène lui répond :
    
    — Merci, Monsieur ! Puis-je avoir aussi un cendrier car je fume.
    — Vous pouvez avoir un cendrier, mais à condition de m’appeler Julien, car tous le monde m’appelle ainsi : c’est plus sympa, mais surtout moins conventionnel.
    — Parfait, Julien ! Vous avez raison, c’est plus sympa !
    
    Puis ils partent tous les deux dans un rire qui fait relever la tête à Victor.
    
    Une fois son dessert terminé, Victor décide de boire un café sur la terrasse et de fumer un cigare avant de rejoindre son appartement en compagnie de César qui semble fatigué après les allers et retours sur la plage. Philomène quitte le restaurant pratiquement au moment où Victor se lève à son tour pour rejoindre la terrasse. Il sent le parfum ambré de Philomène dans le couloir. Il imagine sa ...
    ... peau douce, chaude, qu’il aimerait bien caresser des ses longues mains fines et soignées. Voyant Philomène se diriger vers la terrasse, Victor lui emboîte le pas afin de pouvoir s’asseoir à proximité de son fauteuil en rotin garni de coussins rouges. Arrivé à la hauteur de la table où Philomène est assise, ne voulant plus rester dans l’ombre tant son désir est palpable, il se campe devant sa table pour lui dire :
    
    — Bonsoir, Philomène ; avez-vous bien dîné ?
    
    Philomène, interloquée, lui répond sur un ton peu aimable :
    
    — Bonsoir ! Mais qui êtes-vous, Monsieur ? Et comment connaissez-vous mon prénom, je vous prie ? Car je ne suis pas une star de cinéma ni une gravure de mode !
    
    Amusé, Victor lui répond de sa voix suave :
    
    — Vous êtes bien plus que cela, belle naïade, aussi j’ai pris grand plaisir à vous narrer l’histoire du débarquement de juin 1944 sur la plage…
    
    Un peu surprise, Philomène se sait que répondre car si c’est bien cette voix qu’elle a entendue dans son subconscient, elle ne pensait pas que c’était réel. Ne voulant pas paraître farouche, elle lui répond plus calmement :
    
    — Donc, si je comprends bien, vous avez fait naître en moi un scénario auquel je ne m’attendais pas en venant me reposer sur cette plage de sable fin.
    — Oui. Effectivement, je suis le narrateur qui à fait naître puis déclenché en vous un orgasme ô combien jouissif. Je ne vous cache pas que je ne suis pas resté insensible à votre jouissance, malgré mon âge.
    — Eh bien, cher Monsieur, ...
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