1. L'orage Revisité


    Datte: 21/06/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: byJipai, Source: Literotica

    ... mains sous sa jupe lui palpe son fessier ferme sous mes doigts, elles courent sur sa peau de ses cuisses à ses hanches en réchauffant la chair et le désir. Je le sens bien rien qu'à son souffle plus haletant. Je sors mes mains pour dégrafer sa jupe qui choit sur le plancher, son corsage en un tourne main suit le même chemin, enfin sa combinaison vole par dessus sa tête et maman est devant moi en sous vêtements.
    
    Je me lève à mon tour pour la regarder mieux, je la trouve belle, ses seins dilatés par sa grossesse dardent plus que jamais et menacent la fragilité du soutien-gorge de dentelle qui leur sert d'écrin, le spectacle est à la fois charmant et infiniment érotique. Est ce une idée que je me fais, il me semble voir son ventre plus bombé que de coutume dans la gaine de couleur chair qui l'enserre, je refuse cette idée de voir grossir son ventre, elle s'aperçoit de mon trouble et me prend dans ses bras. « Viens » me souffle-t-elle à mon oreille alors qu'elle me guide jusqu'à sa chambre.
    
    Nous nous abattons sur le lit, enlacés et plus que jamais avides l'un de l'autre.
    
    Commence alors la plus folle nuit que n'ayons jamais eue. Sans plus attendre, j'arrache mes vêtements et nu comme à mon premier jour je fonds sur elle et la chevauche. Ses cuisses s'ouvrent et mon sexe trouve son pubis déjà brûlant. Je l'embrasse à pleine bouche, nos langues se mêlent et font l'amour pendant que nos mains se caressent de toute part. Sans attendre davantage, je glisse une main entre ses ...
    ... cuisses et écarte brutalement sa culotte, maman se raidit brusquement sous mon geste, je ne m'arrête pas à ce qui pourrait être une réticence, je guide mon sexe vers ses lèvres et force le passage vers son vagin que j'envahis d'un coup de reins. Maman a tressailli sous l'assaut, elle pousse un « Ohhh! » surprise et contente à la fois. Je besogne déjà dans son canal humide, je glisse sans difficulté pour toucher le tréfonds de sa chair, je pousse ma queue aussi loin qu'il m'est permis et l'ouvre de mon gland exalté.
    
    Elle gémit d'une voix doucement geignarde, elle ne s'attendait pas à cet assaut de hussard que je lui fais subir. Ma bite fore sa chatte à chaque coup de reins que je donne, je suis maintenant tout à mon affaire : oublié nos angoisses et nos affres, oublié ce vieux toubib qui finira bien par céder, je veux baiser comme je ne l'ai jamais fait, procurer à maman un plaisir dont elle se souviendra toute sa vie. Elle aussi a le sentiment qu'il va se passer de grandes choses et je la sens prête à tout ce soir , à cette espèce de passivité qui laisse libre court à toute mon imagination. Pour l'instant je veux l'entendre bramer de plaisir sous mon ventre qui la presse et mes coups de reins qui la pilonne, j'ai la queue dure comme jamais je ne l'ai eue, je l'imagine aussi grosse qu'un concombre. Son plaisir, je le sens qui monte sous mes coups de boutoir à ses râles qu'elle profère à la cadence de mes reins. Attentif et besogneux, je pousse des « Han, han han, » au rythme ...
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