1. Premières expériences


    Datte: 20/06/2021, Catégories: fh, hbi, jeunes, copains, Voyeur / Exhib / Nudisme préservati, double, init, Auteur: Caval, Source: Revebebe

    ... m’attirait toujours autant. Cela me fascinait toujours que cette personne, qui avait le même sexe que moi, puisse éprouver de l’attirance à me voir nu, à faire l’amour avec lui et jouir intensément entre mes bras. De son foutre, je me faisais un régal lorsqu’il éjaculait dans ma bouche. Il n’était jamais sans visiter les parties les plus intimes de mon corps : ma verge, mes testicules, mon anus. Il y avait en ses gestes de la fermeté, mais qui immanquablement m’excitait énormément. J’aimais son corps bien qu’il ne fût pas celui de ces hommes aux « plaquettes de chocolat », ni celui de certains homosexuels efféminés. Son sexe érigé me faisait toujours frémir de contentement et de désir. J’aimais par-dessus tout lorsqu’il me sodomisait. Malgré la longueur et la grosseur de son pieu, il m’a toujours entraîné, dans cette étreinte, vers des pays merveilleux.
    
    Fleur voulut que je la sodomise elle aussi. Chez elle, ce n’était peut-être pas un désir à assouvir, mais plutôt la curiosité de connaître cette pratique qui unissait quotidiennement son frère et son amant. En tout état de cause, la demande n’est jamais venue de moi. C’est là que je pus constater les effets des habiles conseils de mon amant : je réussis à faire jouir cette fille magistralement alors que ses préférences étaient plus vaginales qu’anales.
    
    — Je me disais bien, me confia-t-elle, que les homosexuels étaient sûrement beaucoup plus doués pour donner du plaisir en prenant par derrière. C’est peut-être parce ...
    ... qu’ils connaissent la douleur qu’on peut ressentir si le sodomiseur n’est pas attentif au plaisir du ou de sa partenaire. Un homme qui n’a jamais été pénétré n’a aucune notion de ce que nous devons endurer, nous les femmes, tandis que vous, les pédés, vous savez tout cela. Tu n’es pas le premier à déflorer mon anus, mais jamais auparavant, avec mes amants hétéros, je n’ai pu ressentir de plaisir par cet orifice.
    
    Fleur était une fille très ouverte sexuellement et quelque peu perverse. Encore que la notion de perversité est toute relative, et chacun l’entendra comme il voudra, à l’aune de la morale et de ses pensées propres. Ainsi nous demanda-t-elle un jour de pouvoir être la spectatrice de nos ébats gays. Nous accédâmes à ses souhaits et elle nous regarda pendant de longues minutes où nous ne cachions rien de nos pratiques quotidiennes, que ce soit des fellations totales (en avalant le sperme), des sodomies, des branlettes, etc. J’eus l’impression que sa présence, discrète, nous stimulait. À un moment, jetant un coup d’œil vers notre spectatrice, je constatai qu’elle se branlait énergiquement tout en ne perdant pas une miette des ébats de son frère et de son amant.
    
    Du coup, Olivier voulut assister à une séance où je faisais l’amour à sa sœur. Ou plus exactement, où nous faisions l’amour, Fleur et moi, car Fleur était particulièrement active dans nos joutes sensuelles et sexuelles. La position d’exhibitionniste ne fut pas pour me déplaire. Moi, pour qui, quelques jours ...