1. Et si tu me disais qui tu es


    Datte: 20/06/2021, Catégories: fh, hplusag, voisins, Masturbation fsodo, jeu, Auteur: Ronald76, Source: Revebebe

    ... me permet de constater qu’elle dort encore, je profite de la vue sensuelle. Ses deux globes fessiers sont bien galbés marquant le fin sillon de son cul. L’une de ses jambes étant légèrement repliée je peux aussi voir son petit trou, bien tentant, et le début de son minou, mon abricot à moi. Je continue mon inspection en regardant ses hanches si fines et son dos, avant de me rapprocher pour avoir la vue sur ses seins, quelle beauté. Son visage est légèrement masqué par les boucles noires de ses cheveux, mais je peux néanmoins admirer la finesse de ses traits reposés.
    
    Je me lève pour chercher mon appareil photo, un tel spectacle ne peut qu’être immortalisé, et c’est sous tous les angles que je prends des clichés en rafale et d’un érotisme sans pareil. Quelques instants encore et la belle bouge légèrement, le déclencheur de l’appareil a dû la réveiller. Elle se positionne sur le dos et s’étire longuement, le mouvement de ses bras fait bouger doucement ses seins, elle ouvre enfin les yeux et me sourit.
    
    — Bonjour, mon gros coquin, mais que fais-tu ? Tu profites de mon sommeil pour faire des cochoncetés, c’est vilain !
    
    Pas si vilain que ça finalement, car c’est elle qui maintenant prend des positions lascives et très suggestives. Elle écarte franchement les jambes ce qui me permet d’avoir une vue plongeante sur ses lèvres intimes, légèrement entrouvertes et déjà bien brillantes, gros plan, clic. Puis elle se retourne m’offrant son postérieur avant de se mettre à quatre ...
    ... pattes les cuisses bien écartées, sa tête tournée vers moi. Je lis dans ces yeux comme un défi, gros plan,clic, clic. Je n’en peux plus, je pose alors mon appareil pour m’approcher derrière elle, ma queue est tendue vers ce con offert. Prenant ma verge en main, je la promène dans le sillon offert, passant de sa vulve à la raie de ses fesses, je profite de sa mouille sur mon gland à chaque passage. Elle m’invite alors, en termes crus, à passer à l’acte.
    
    — Viens avec ta grosse bite, viens, prends-moi maintenant, je suis prête et regarde, toute mouillée. Prends-moi comme une chienne et défonce-moi bien à fond.
    
    Positionné à l’entrée de sa chatte, je me glisse vers l’intérieur, avant de ressortir lentement et de recommencer. Quelle chaleur, quelle douceur ! Mais devant mes yeux, il y a ce petit trou qui me regarde, m’attire. Alors je viens prendre place avec mon gland sur la rondelle serrée et m’applique à vouloir en forcer l’ouverture. Ma queue est grosse et épaisse et la manœuvre ne semble pas aisée. Alors que j’hésite à poursuivre, c’est Claire qui m’aide :
    
    — Si tu veux, oui prends-moi par là. Vas-y, mais soit doux, car tu seras le premier et j’ai un peu peur de la douleur. J’en rêve pourtant depuis si longtemps. Alors oui, sodomise-moi, prends mon cul et baise-le, il est à toi.
    
    Ne voulant surtout pas lui faire mal, je me rappelle soudain que mon épouse utilise parfois du lubrifiant lors de nos rares rapports. Je le trouve dans la table de chevet et reviens me placer ...
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