1. Et si tu me disais qui tu es


    Datte: 20/06/2021, Catégories: fh, hplusag, voisins, Masturbation fsodo, jeu, Auteur: Ronald76, Source: Revebebe

    ... laissant vagabonder mon esprit. L’idée m’est venue de me raser le sexe tout d’abord puis, devant le résultat, tout le reste du corps. Et je ne le regrette pas, car j’ai depuis, l’impression que toutes mes cellules sont exacerbées lorsque je me caresse et ma jouissance n’en est que plus grande.
    — Alors, montre-moi.
    
    Quittant la table, elle m’emmène au salon, m’installe sur le canapé et s’agenouille à mes pieds.
    
    — Vas-y, montre-moi maintenant. Laisse-toi aller.
    
    Je la regarde, nue et pourtant si sage à mes pieds.
    
    — Allez, ferme les yeux et donne-toi du plaisir, ne t’occupe pas de moi.
    
    Les yeux clos, c’est son image qui excite mon esprit, alors mes mains commencent un parcours progressif sur mon corps. Je commence par la poitrine où je cueille mes seins, malaxant la chair ferme jusqu’à obtenir l’érection de mes tétons, devenus si durs sous les légers pincements que je leur inflige, avant de les faire tournoyer entre deux doigts. Puis je saisis les deux globes dans le creux de mes paumes et les rapproche l’un de l’autre, je l’avoue j’aime ma poitrine… féminine. Plus bas mon pénis a pris forme et je le devine se dressant à quelques centimètres du visage de Claire, mais je reviens à mon plaisir. Maintenant c’est mon ventre, que certains qualifieraient de brioche, qui fait l’objet de mon attention, mes caresses passent des flancs au nombril tout en décrivant de doux ronds, sous la délicatesse de mes doigts je frissonne de désir. Ma respiration s’accélère et je laisse ...
    ... tout mon être s’exprimer, oubliant la présence de ma partenaire.
    
    — Hummm, que c’est bon, j’aime ça, oui. Hmmmm…
    
    J’ai écarté largement les cuisses pour pouvoir bien accéder à l’intérieur de celles-ci. Mes mains bien à plat et mes doigts écartés en prennent possession. J’essaye dans mes caresses de ne pas oublier un centimètre de peau et lorsque je remonte vers le haut, mes pouces viennent se nicher entre mes boules et l’entrecuisse, que c’est bon ! En moi monte l’envie de la jouissance, j’aime ce que je me donne et je n’en peux plus il faut que je me branle, je veux jouir, là maintenant. Une de mes mains se place sous mes couilles et les malaxe délicatement, l’autre s’empare de ma hampe de chair et d’un ample mouvement je me branle tout en accélérant au fur et à mesure que je sens l’orgasme monter. Sous mes doigts, ma queue s’est raidie une dernière fois alors que j’éjacule longuement, laissant échapper un râle de plaisir.
    
    Alors que je reprends mon souffle et que je n’ai pas encore rouvert les yeux, je perçois un mouvement à mes pieds, perdu dans mon fantasme j’en ai oublié ma bien-aimée. Sa voix me parvient douce et mélodieuse.
    
    — Ne bouge pas, profite.
    
    Ma peau est effleurée en douceur, je devine que c’est sa chevelure, puis sa langue, qui parcourent mon ventre. La belle est en train de laper le sperme que j’ai répandu telle une chatte qui boit son lait. Méthodiquement j’ai droit au grand nettoyage, cela dure longtemps, viens l’instant où je sens un fourreau de ...
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