Retour de bâton pour femme infidèle (1) - Histoires de Sexe

Retour de bâton pour femme infidèle (1)

... moment où le véhicule me déposa devant chez nous, je constatai la présence de la Twingo de Marc, mon meilleur ami. Que faisait-il chez nous ? Y avait-il eu un problème, raison pour laquelle Mireille ne pouvait pas répondre à mes appels ?

J’entrai chez nous et tout de suite je sentis que quelque chose n’était pas normal. Toutes les lumières du rez-de-chaussée étaient éteintes et j’entendais du bruit à l’étage. J’eus un sombre pressentiment qui paralysa tout mon corps. Mon sang était comme glacé dans mes veines. Je déposai doucement ma valise sur le canapé, me déchaussai et commençais à monter les escaliers jusqu’à l’étage.

Le palier était divisé en trois : à droite et à gauche deux chambres dont une me servait de bureau, et un couloir menant à notre chambre, à une salle de bain et à un w. c.

J’entendis des bruits étouffés provenant de notre chambre. Prudemment, je progressai vers cette dernière. La porte était légèrement entre-ouverte. Je ne pouvais voir directement le lit parce que ce dernier se trouvait derrière la porte. Mais, je pouvais voir par reflet dans le miroir qui se trouvait en face de notre lit, ma femme qui se faisait prendre en levrette par Marc.

Quel enfoiré, baiser la femme de son meilleur ami. Moi qui l’avais tant aidé dans sa vie professionnelle et après son divorce. Moi qui l’avais sorti de la merde alors qu’il n’était qu’une loque.

Et Mireille, quelle salope ! Me tromper avec celui que je croyais être mon meilleur ami. Mais ...

... pourquoi ?

Au moment où je m’apprêtai à intervenir, j’entendis ma femme lui dire:

— Viens Marc, encule-moi fort comme la dernière fois.

J’étais abasourdi. Elle se faisait enculer alors qu’elle me le refusait depuis notre rencontre. Et visiblement, ce n’était pas la première fois. Depuis combien de temps me trompait-elle ?

Je fis deux pas en arrière et retournai dans mon bureau pour y récupérer mon caméscope, pour avoir des preuves de son infidélité.

Je retournai devant la chambre et commençais à filmer leurs ébats. J’avais le son et l’image. Ils allaient me le payer très cher tous les deux.

J’entendais les halètements des deux amants qui se donnaient corps et âme dans leur baise. Je vis Marc se retirer, enfoncer ses doigts dans la chatte de ma femme, prélever sa mouille et commencer à en enduire son anus. Puis il plongea un, puis deux doigts dans son petit trou pour l’assouplir. Mireille gémissait comme une salope suite à l’intrusion.

— Oh oui, Marc, montre-moi que tu es un homme, pas comme ma lopette de mari.

— Oui, je vais te montrer qui est le mâle dans cette maison.

— Oui, encule-moi fort, l’autre connard n’a jamais voulu me la mettre dans le cul, il trouvait cela dégradant. Vas-y plus fort, plus loin... Oui, je vais jouir...

Je n’en revenais pas de leurs propos. Ma propre épouse me traitait de connard et de lopette.

Caché derrière ma caméra, j’avais l’impression de vivre une scène irréelle. Le filtre de l’appareil faisait que je me retrouvai protégé de ...