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Un conte de Noël: le très joyeux (et coquin) Réveillon de Sophie et Alicia (catégorie d'hiver) (1)
Datte: 19/06/2021, Catégories: Divers, Auteur: simson3, Source: Xstory
... toujours l’unique amour de ma vie. Je t’aime tant! - Mon beau minet, mon gros minou, mon héroïne, et tu sais que je t’aime tout autant! Tu es toute ma vie! Viens, ma chérie, prends-moi encore une fois! fit la rouquine en laissant glisser de ses épaules le fin tissu de soie, exposant de l’autre aux yeux des petits seins sur lesquels dansait le feu. - Non, prends-moi, toi, c’est à ton tour de m’envoyer au Paradis, répondit la fille à la noire chevelure qui, sans contredit, ouvrait les pans de son vêtement, offrant à son amoureuse ses trésors, qui pour l’autre valaient plus que de l’or. Déposant à ses côtés son peignoir de soie turquoise, Alicia étendit son corps nu sur le velours qui couvrait le parquet. Les flammes réchauffaient et enluminaient ses hanches et sa poitrine à l’épiderme légèrement bronzé dont les mamelons pointaient hardiment vers le ciel. Ayant ouvert les jambes et levé légèrement les genoux, elle accueillit sa petite biche dans son giron et l’embrassa, sentant sa fine repousse pubienne frottée par la toison rousse de son amante. Souriante d’un sourire coquin, Sophie balaya d’un gourmand coup de langue le mamelon droit d’Alicia, achevant d’en provoquer l’érection. Y déposant sa bouche, elle l’emprisonna ensuite entre ses lèvres, amorçant des mouvements de succion et de langue qui électrisèrent le bas-ventre de son amoureuse partenaire. Les deux mains sur les fesses de sa copine qui la dominait, Alicia explorait la chaude intimité qui à ses doigts ...
... s’offrait, titillant au passage un anus humide, tout en continuant de s’abandonner à d’intenses caresses saphiques labiales et linguales. Les doigts poursuivirent leur course et allèrent tremper dans la cyprine qui coulait à flot hors de ce rouquin et brûlant sexe en chaleur qui les accueillait. Au son mélodieux des airs de Noël qui enchantaient la pièce se mêlaient maintenant à l’unisson les gémissements de bonheur des deux gonzesses. On toqua soudain violemment à la porte. C’est dans un sursaut que les deux gouines mirent fin à leurs ébats, se hâtant chacune de se couvrir de nouveau de son léger peignoir de soie. - T’as entendu comme moi? demanda Alicia en se dirigeant avec hésitation vers la porte d’où semblaient retentir les coups. - J’ai entendu frapper moi aussi, confirma Sophie, achevant de nouer le ceinturon de son vêtement vaporeux. Par un temps pareil, qui cela peut-il bien être, tout à coup? La porte fut lentement ouverte, laissant toutefois s’engouffrer dans la pièce un coup de vent glacial qui souleva très haut l’unique et très léger vêtement que portait Alicia, exposant momentanément la nudité de la fille à celui qui la regarda. - Ho! Ho! Ho! Mais que vois-je? fit entendre une voix grave provenant du mystérieux mais coloré visiteur qui se dressait à la porte. Couvrez-vous bien, mademoiselle, c’est pas très chaud ce soir, mais qu’importe! - Pè… Père Noël?? s’étonna Alicia en cédant le passage à un individu de grande taille accompagné d’un second, ...