Bénédict...ions (3) - Histoires de Sexe

Bénédict...ions (3)

... corps. Il en retire le jouet sans aucune délicatesse.

Un instant plus tard, je sens sa colonne s’insinuer lentement, mais avec certitude dans mon trou du cul, sur toute sa longueur, jusqu’à ce que ses couilles viennent coller à ma chatte encore pleine de mouille.

D’habitude, il prend le temps de me le préparer en me plongeant sa langue et ses doigts d’abord, mais ce soir, j’ai même l’impression qu’il veut me faire mal... Je subis, je le laisse faire et tends mon cul du mieux que je peux. Le plaisir d’être enculée revient très vite et même si mon gros orgasme est déjà passé, je ressens un bien fou à me faire démonter par là.

Il me pétrit les hanches, me ravage l’anus avec rage... Je le sens jusque dans mon ventre, comme l’autre fois en soirée privée, sodomie à la chaîne, la mauvaise semaine du mois. J’avais pris 6 bites dans le cul, l’une après l’autre et récolté tout le sperme dans un verre que j’avais avalé, en plusieurs gorgées quand même.

Ces pensées s’ajoutaient à mes sensations actuelles. L’extase... et un instant, mon esprit divague, je regarde le panier vide devant moi en me ...

... demandant si le chien aurait apprécié le spectacle. Je me dis qu’une seconde bite, dans la bouche par exemple, me plairait énormément, la tout de suite. Pourquoi pas la sienne d’ailleurs ? Je me demande à quoi ça ressemble une bite de labrador... et quel goût elle peut avoir... J’ai envie de savoir...

Cette pensée s’enfuit aussitôt lorsque Paul se retire de mon cul pour venir m’offrir directement en bouche une grosse quantité de sperme, celle que j’espérais depuis ce week-end et que je bois avec appétit. Je lui lustre la bite qu’il remballe avant de me laisser là, telle une pute usée dont il n’a plus l’usage. Il aime m’humilier... et j’aime ça aussi...

Il s’est acharné sur mon trou du cul, j’y mets les doigts avec facilité, dilaté comme il faut... je pourrais y rentrer une bonne partie de ma main, peut-être même entièrement, mais c’est trop sensible. J’essayerai une autre fois...

Je me redresse avec difficulté, il y a vraiment été fort, j’envisage alors une bonne douche... et je ne peux m’empêcher de me reposer des questions en passant devant le panier du chien... Où est-il d’ailleurs ?