Confessions d'un cocu magnifique
Datte: 18/06/2021,
Catégories:
fhh,
couleurs,
extracon,
cocus,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Foldedol, Source: Revebebe
Ma femme et moi c’était l’histoire d’amour parfaite. Une rencontre à dix-huit ans avec une brune ravageuse et angélique, un mariage à vingt ans et puis une vie sexuelle épanouie libertine, perverse, enfin de quoi faire rêver l’être humain moyen qui nous regardait toujours avec envie.
Il faut dire que Patricia est belle avec ses cheveux noir d’encre et sa peau claire. Son visage de gamine dans un corps de femme plus mure. À dix-huit ans déjà elle donnait l’impression d’avoir un corps très légèrement marqué par les mains des autres. C’est ce qui la rendait excitante : son corps semblait fait pour être touché autant que regardé. Abandon et fermeté.
Tout était parfait. À chacun de mes désirs les plus pervers elle apportait une réponse plus perverse encore. Elle commandait, choisissait les moments où on faisait l’amour et les moments où on baisait, puis l’usure aidant elle choisissait les jours et enfin elle s’est mite à ne plus rien choisir du tout. J’essayais toutes les tentatives d’approche possibles et imaginables, le matin, le soir, romantiques ou violentes, mises en scène ou improvisées, plus rien n’y faisait, je devenais une figure imposée. Elle ne me rejetait pas toujours mais je ne sentais plus dans ses yeux le désir que j’y trouvais autrefois, et cette indifférence me rendait malade si bien que pour ne plus souffrir j’ai trouvé une parade, d’acteur dans la sexualité de ma femme, je me suis progressivement, et malgré moi, transformé en voyeur.
Les rares fois où ...
... on faisait l’amour, je lui demandais, je la suppliai, de se caresser, comme pour ne plus avoir à la toucher, et pour la première fois elle résistait. La garce ne supportait pas de ne pas diriger les opérations. La nuit, je la touchais dans son sommeil. Je fermais les yeux pour qu’elle se croie seule et j’espérais qu’elle me trompe avec elle-même. Mais, à chaque fois, au moment d’en venir aux mains, elle s’arrêtait comme prise en faute.
Je m’humiliais à me masturber la nuit alors que je la savais éveillée, " Tu ne veux pas de moi, je me prends seul".
Puisqu’elle ne jouissait plus de moi alors je la rêvais jouissant d’elle-même, puis jouissant d’un autre. Pas une vraie personne mais un anonyme le plus différent de moi possible. Un mec, un vrai, pas moi. Je rêvais comme un masochiste qui se fait mal volontairement.
J’étais soumis, c’est comme ça que j’ai commencé à y prendre plaisir… elle aussi…
Sa domination, c’était son indifférence, ma soumission c’était mon désir incontrôlable. Tout cela baignait dans une atmosphère quotidienne sans aspérités, dans la confiance mutuelle d’un amour presque fraternel.
La semaine dernière, un de ses anciens amis est venu manger chez nous. Rachid était accompagné d’un dénommé Habib. Sorte de grand dadais d’origine sénégalaise qui a tout de suite remarqué mon absence totale de sex-appeal et, au contraire, l’allure de femme fatale de Patricia. On boit un coup puis un deuxième, un troisième, on rigole bien mais je sens confusément que ...