1. Tropique porno (1)


    Datte: 18/06/2021, Catégories: Gay Auteur: Naysayer44, Source: Xstory

    ... doigts me malaxer le boxer, et tout aussi subitement, me ramènent à la réalité. Je me dégage de lui et me relève, perdu, ne comprenant pas cette fièvre subite, moi qui n’ait jamais embrassé qui que ce soit... Je suis gêné, debout, cachant mon érection, rouge comme une écrevisse...
    
    — J... Ohh je suis vraiment désolé mec...
    
    Ambroise est toujours au sol, assommé mais un grand sourire aux lèvres. Il se relève - ses muscles bandés au maximum sont si beaux ! - et me pose un main sur l’épaule...
    
    — Quand tu veux mon lapin... et sa main glisse dans ma nuque alors qu’il pose un léger baiser sur ma bouche... et alors que son autre main glisse sous mon boxer, il ajoute, avant de repartir:
    
    — D’autant que tu as là quelque chose que j’aimerais bien mettre dans ma bouche... Retrouve moi ce soir derrière le 7ème cabanon à minuit...
    
    Décontenancé serait le terme le plus adapté pour me décrire à cet instant, si bien que je pris mes affaires et parti en marche rapide jusqu’à notre bungalow. Une fois arrivé, je saurai sous la douche froide pour essayer de me calmer, recouvrer mes esprits, et surtout essayer de débander car ma queue commençait à me faire mal. Au bout de quelques minutes d’efforts infructueux, j’entends mes parents rentrer et appeler mon ...
    ... prénom, la voix bourrée d’inquiétude.
    
    — Je suis sous la douche.
    
    — Ça va mon chéri ? On t’a vu partir de la plage en courant !
    
    — Oui-i papa tout va bien, tout va bien.
    
    — Bon okay chéri, on va préparer le dîner, ne te presses pas.
    
    Sous la douche, rien n’y fait. Malgré l’eau froide, ma bite ne débande pas. Je ferme alors les yeux, m’assieds en tailleur sous le jet d’eau et repense à Ambroise, à son corps que j’imaginais masser avec une huile chaude et épaisse, sentir la fermeté de sa chair sous mes doigts, lécher son ventre en glissant vers ses tétons que je sucerais avec avidité... Répondre à ses mains qui me pousseraient à visiter son entrejambe, et l’entendre me répéter encore et encore de le sucer, l’entendre m’appeler sa petite salope... Ça y est, ma queue ne me fait plus mal. Je me branle doucement et c’est agréable. C’est mieux que ça parce que rapidement, sans crier gare, mon sperme explose de mon gland et vient s’écraser sur mon torse. Je suis libéré, soulagé. Je me redresse et me nettoie calmement avant de rejoindre mes parents, qui me soutiennent, me complimentent sur ma bonne mine. Oui, je me sens bien, leur réponds-je. Et pour moi-même, dans ma tête : incroyablement bien oui, car dans quelques heures je vais être dépucelé... 
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