1198
Datte: 18/06/2021,
Catégories:
f,
fh,
photofilm,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
Auteur: SHadows, Source: Revebebe
C’est par ces simples mots que tout est arrivé. Et par une pure coïncidence, j’avais besoin de me faire prendre en photo pour mon travail. Pas de simple photomaton, trop froid, trop standard. Mais de vraies photos faites par un vrai professionnel. Je voulais me démarquer de la concurrence et joindre une vraie bonne photo avec mes CV, photo ne mettant pas seulement en valeur mes attributs féminins. J’ai donc cliqué sur le lien.
Pas de site internet, donc pas de vitrine virtuelle. Juste une annonce sur un site d’achats groupés. Malgré mes recherches, je ne trouve pas d’avis de consommateurs, mais il existe une vraie boutique. Un coup d’œil surStreetview de Google et je découvre la vitrine réelle du photographe.
Rien à redire, tout paraît pro, presque trop tentant. J’attrape mon téléphone et j’appelle. C’est un homme qui me répond, courtois. J’aurais voulu un rendez-vous la semaine prochaine mais son planning est plein. Il me propose donc un rendez-vous en fin de semaine suivante. Tant pis, je n’ai pas envie de chercher un autre laboratoire. Il me paraît digne de confiance. J’attendrai. Il prend mes coordonnées et le rendez-vous est fixé.
Deux jours avant, en véritable professionnel, il me rappelle pour confirmer le rendez-vous. J’avais presque oublié, je voulais passer chez le coiffeur avant d’y aller. C’est râpé. Pas moyen de trouver un salon de coiffure digne de ce nom. Venez comme vous êtes, martèle la pub d’une célèbre marque de restauration rapide. Eh bien, il ...
... faudra faire avec.
Du coup, le jour du rendez-vous je ne sais pas comment me coiffer. Cheveux longs retombant sur les épaules, en chignon, couettes, queue de cheval… Je m’énerve, j’attrape des barrettes et m’attache les cheveux comme je peux pour éviter que cela parte dans tous les sens. Je m’habille en tailleur strict et me précipite à mon rendez-vous.
L’homme qui m’accueille est charmant, un peu trop même. Il me serre la main, sa main est chaude et sa voix réconfortante. Il me demande ce que je souhaite. Je lui explique mes besoins.
En quelques mots, il m’explique comment va se dérouler la séance. Nous montons à l’étage où se situe son studio. Il me présente son assistante, sorte de fille acariâtre, les cheveux attachés en chignon lui donnant l’air encore plus antipathique. Elle me montre le matériel et m’explique à quoi il sert. Tout cela me paraît clair. Elle fait tout pour me mettre à l’aise. Pendant que le photographe prépare son matériel, elle me montre le décor, une sorte de banquette bleue des plus sobres. Elle me demande de prendre place pour commencer la séance, m’explique où m’asseoir et comment me positionner pour un résultat optimal.
Je m’installe sur la banquette. Elle est dure et inconfortable mais on m’a bien expliqué que l’objectif n’était pas que je sois avachie dans un coussin. Le photographe commence par me demander de me détendre car il me trouve trop crispée.
Crispée ? Moi ? Enfin, il n’a pas tort. Je réalise que je ne suis pas non plus dans ...