Démarcheur à domicile 9 FIN Où est ma femme?
Datte: 23/01/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Accent, Source: Hds
... ouvre des yeux !
- Tiens la télécommande et dis-moi où est l’œuf. Cherche. Mise en route, appuie. Plus vite ! Maintiens ce niveau. Amuse-toi. Punis Gérard de te tromper avec Marion.
Je m’adresse à Gérard :
- Depuis quand es-tu l’amant de ma femme ?
- Pas moi ! Je n’ai jamais couché avec Marion
- Liliane accélère, ne supporte pas ses mensonges
La sœur appuie. Le corps se contorsionne. Il tremble des pieds à la tête, bave.
- Tu as abîmé le vagin de Marion. crie Liliane. Menteur, avoue votre livraison. Pourquoi mens-tu. Veux-tu que j’accélère encore?
- C’était la seule qui me résistait.
- Il ment, elle était d’accord. Elle n’est pas si « abîmée » que ça. Jean, elle t’enfume pour ne pas faire l’amour avec toi. Allez, Gérard, dis lui avec qui tu l’as placée en attendant de la récupérer. Parle ou je mets au maximum.
Il pleure, se tord, crie :
- Stop, je parle.
Liliane ralentit.
- Avec qui s‘amuse-t-elle en ce moment, parle ou…?
- Non, pitié. Avec Émile. Mais elle n’a pas eu besoin de moi. Le jeune con l’a draguée. C’est pour ça qu’elle ne voulait pas de moi, la conne. Débaucher un mineur. Il n’y a plus de morale. Odette que fais tu ici ?
- Regarde, cher mari. Joseph a une belle queue, hein. Belle et bonne. Si tu savais !
Odette s’accroupit au dessus de Joseph couché sur le dos, cherche la bonne place et s’enfonce sur le mandrin de son concubin. Elle chante :
- Hue, coco !
- Non, ne fais pas ça. Que vont devenir nos enfants ! ...
... pleurniche le couveur d’œufs artificiels.
- Il serait temps de t’en souvenir, père indigne. Ils grandiront avec celui que je porte.
Liliane ne sait plus, chassée par l’un, remplacée par l’autre, elles‘accroche à son dernier rêve, me sourit:
- Jean, tu me gardes ?
A sa question je réponds par une question :
- Où est Marion ?
- Si tu me gardes,
- Parle où je t’enfonce l’œuf dans le cul.
La menace lui délie la langue:
Au stade, dans le réduit à balais.
J’arrive en un temps record. Je me précipite vers le réduit, fermé par une porte pleine. Sur le côté la lumière entre par une toute petite fenêtre. Balais, tondeuse à gazon, râteau, pioche et seau de chaux ont été sortis. A l’intérieur on chahute. Je jette un œil à travers la vitre sale, crasseuse. Trois gaillards nus, bite en main entourent une femme. A tour de rôle elle les suce ou les masturbe avec application, un dans la bouche, un dans chaque main. Je ne distingue pas sa figure. Est-elle brune, châtain ou rousse ? Les garçons crient :
-Debout, debout, tends tes fesses. Le bonheur est ici, tu le connaîtras. Baisons, foutons enfin.
Celui qui me tourne le dos cache le visage et une grande partie du corps de la femme. Ma femme si j’en crois cette vipère de Liliane. Derrière elle un autre pointe sa verge vers le sexe sous la croupe encore jeune, pas trop impressionnante, il s’y frotte, pousse son ventre en avant. Les mains sur les hanches de la femme, le jeune se balance lentement, encouragé par ...