1. Le père de mes voisins


    Datte: 17/06/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Femmenature, Source: Hds

    En cette période de juillet caniculaire, du moins pour nous les gens de l'Est peu habitués à une telle chaleur, je ne portais bien souvent que tenues légères ( Les pantalons au rencart dans les placards ) petites jupes courtes, tee-shirts ou chemisiers fins avec parfois les seins libres de toute entrave de soutien-gorge qui les libérait de toute contrainte. J'évitais le port de mes petites culottes blanches en tulle transparente (Le frottement du nylon irrite la peau des cuisses au niveau de l'entrejambe avec la transpiration ) que j'appréciais de porter au vu qu'elles dévoilaient allégrement le triangle noir de ma toison dans le but d'exhiber mon buisson touffu et d'exciter les adolescents et les plus vieux lors de mes périples de voyageuse dans le bus ou le train pour me conduire au travail et au retour le soir.
    
    Je préférais enfiler juste pour une question de confort les culottes en coton blanc dont certaines quelque peu trop ajustées "collaient" à ma fente et moulaient ostensiblement mes fesses jusqu'à ce que le tissu colle à ma raie culière.
    
    Nous sommes mitoyens avec un couple de notre âge et nous entendons bien. Parfois c'est l'apéro chez l'un ou l'autre, juste une bonne relation de voisinage. Nous avons un petite terrasse agrémentée de bordures engazonnées non loin de leur terrain qui se trouve un peu en contrebas du nôtre et je me trouvais là quand j'ai aperçu un homme d'un certain âge, cheveux grisonnants avec une légère calvitie, un petit embonpoint mais ...
    ... bien joviale qui se présenta poliment à moi comme étant le père de notre voisin. Il était de visite juste pour quelques temps et nous avons discuter de tout et de rien. Jusque là rien de désobligeant ni de fixation sur mon physique. J'appris qu'il se prénommait Jean et sans que je demande me fit part de son âge. Je lui déclinai également mon prénom et lui fit la gentille 'remarque' que pour ses septante années il paraissait moins.
    
    Ce n'est que le lendemain que les choses ont évoluées... J'avais prise la voiture pour le travail et je revenais un peu plus tôt qu'habituellement, me garai devant chez nous le long du trottoir lorsque l’aperçu le père de notre voisin qui arrivait au même moment et à hauteur de mon véhicule. j'attendais qu'il passe pour descendre et ne pas obstruer le passage quand c'est lui qui s'arrêta à ma hauteur me faisant d'un signe qu'il me laissait le temps de quitter ma voiture. Un geste de courtoisie du à une bonne éducation ou en attente d'autre chose car je me dis en moi-même que lorsque je vais ouvrir ma porte et mettre le pied à terre il va avoir une vue des plus tendancieuse et pertinente sur mes cuisses déjà qu'elles sont aisément dévoilées par la courte la courte jupe de tailleur que j'ai mise ce matin.
    
    Il renouvelle son geste comme quoi sa galanterie est de me laisser de prime abord quitter ma voiture où il règne une chaleur infernale et comme nous pouvons rester longtemps de la sorte, j'ouvre ma porte, pose un pied hors de l'habitacle, sur le ...
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