1. Un soir sur les Champs (1)


    Datte: 17/06/2021, Catégories: Divers, Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory

    ... droite et la fille à gauche... et là, ce n’était pas du chiqué comme cela pouvait être sur la scène du cabaret... Jessy me tétait le sein comme jamais elle ne l’avait fait ! Je sentais la pointe de sa langue titiller mon téton... et c’était bon !
    
    La bite de notre compagnon de jeu était dressée comme un pal sur son pubis... J’avais envie d’y goûter, de la mettre dans ma bouche et faire monter les prémices de sa jouissance...
    
    Johnny était excité au possible... Il commençait à manifester son impatience... on l’avait assez chauffé et désormais, il était temps de dévoiler ce que nous étions en réalité.
    
    Nous nous sommes mises de chaque côté de ses jambes et avec un bel ensemble, Jessy et moi, nous avons baissé nos tangas...
    
    SURPRISE ! Le sexe mâle qui était maintenu entre nos cuisses a jailli d’une manière soudaine quand il a été libéré... Je bandais à moitié, la bite à l’horizontale, mais celle de Jessy était dressée devant son pubis...
    
    Si en haut, nous avions une poitrine plutôt rebondie grâce à la chirurgie, en bas, nous étions bien des mâles...
    
    Je m’étais toujours sentie fille, mais hélas dans notre milieu assez pauvre de Rio, il n’était pas question que j’échappe à ma condition : comme les autres garçons de la famille, je trimais pour rapporter un peu d’argent à la maison, argent que mon père s’empressait de boire avec ses copains, tout aussi oisifs que lui...
    
    Un jour, j‘en ai eu assez et je me suis sauvé de la maison... J’ai trouvé refuge chez Carmen, ...
    ... une fille qui avait cinq ans de plus que moi... Elle habitait une autre favela... à 21 ans, elle vendait son corps pour quelques pesos depuis pas mal de temps...
    
    C’est avec elle que j’ai perdu mon pucelage...
    
    Nous parlions beaucoup quand nous étions ensemble et c’est ainsi que je lui ai confié mon secret : dans mon corps d’adolescent, je me sentais femme... Ma poitrine s’était un peu développée, j’étais pratiquement imberbe et j’avais du mal à bander quand Carmen voulait que je lui fasse l’amour...
    
    Pour elle, je lui faisais l’amour alors que ses clients la baisaient ! Au début, je n’avais pas compris la nuance, mais puisqu’il en était ainsi... pourquoi pas !
    
    Un jour, je venais d’avoir 18 ans, nous avons pris un taxi en bas de la favela et nous nous sommes rendus dans les beaux quartiers de la ville... Nous sommes entrés dans un immeuble moderne où le cerbère qui était à l’entrée a salué Carmen qu’il semblait bien connaître.
    
    — Tu connais le chemin... Le docteur Ramirez vous attend !
    
    — Qui est ce docteur Ramirez ? Je ne suis pas malade !
    
    — Ne sois pas impatient ! C’est un de mes riches clients et je lui ai parlé de ton problème...
    
    — Ah bon...
    
    Six mois plus tard, je ressortais de la clinique du docteur Ramirez transformée en femme... Il avait glissé des prothèses en silicone sous ma peau et ainsi, j’avais une jolie poitrine... J’avais aussi subi un traitement à base d’hormones qui avait modifié ma pilosité et mon corps : ma taille s’était affinée à force ...