Sophie se découvre et regarde - Histoires de Sexe

Sophie se découvre et regarde

... circonstances. Je suis Monsieur Pierre et le tutoiement n’est pas de rigueur entre nous. Par contre, nos relations de travail pourraient certainement bénéficier d’intermèdes comme celui-ci. Sommes-nous d’accord sur ce point ma petite ?

Suzy a apparemment tout oublié de ses volontés d’indépendance et de sa bravacherie du déjeuner.

— Oooh oui, Monsieur Pierre, mais je vous en prie, surtout, n’arrêtez pas, votre queue est si grosse…

Et sur ces mots, Suzy, à moitié sur la console, part dans un cri rauque et un frémissement de tout son corps dans ce qui doit être un formidable orgasme. Monsieur Pierre ne cesse pourtant pas une seule seconde son pilonnage alors que la jeune femme est traversée de spasmes. Sophie le voit arborer un rictus de satisfaction pendant qu’il se met à malaxer à pleines mains ce cul gras et généreux qui frémit de plaisir.

— À présent, ma petite, vous allez me faire une faveur.

Sur ces mots, il s’écarte d’elle, la prend par les épaules pour la remettre debout. Ses jambes hésitent, mais il se contente de la faire pivoter fermement pour qu’elle lui fasse face et il la pousse vers le bas.

— Mettez-vous à genoux, je vous prie, après avoir profité de votre aimable cul, je voudrais maintenant jouir de votre visage

Au moment où ils se séparent, Sophie peut enfin distinguer l’intimité du majordome alors que Suzy s’accroupit devant Monsieur Pierre. Pendant qu’il installe Suzy à sa convenance, Sophie voit surgir de son pantalon un bâton de chair ...

... qui doit bien mesurer une main et demie. Il semble épais comme un cierge et pointe fièrement vers le ciel à son sommet une boule d’aspect violacé.

— Levez donc votre regard vers moi… comme ça, oui, très bien. Une bonne fille comme vous, avec un con si chaud et de telles cruches, je parie que votre bouche doit être hospitalière. Mais touchez-vous donc la poitrine, s’il vous plaît, vous me feriez plaisir, j’apprécie toujours le spectacle de seins et de tétons bien pourvus.

Tout en parlant, Monsieur Pierre encercle d’une main sa colonne et lui imprime un va-et-vient agité, qui rappelle à Sophie les propres mouvements de sa langue et de ses doigts sur Madame Arlette. De l’autre, Monsieur Pierre saisit Suzy par le menton qu’il caresse grossièrement en rapprochant le visage de la bonne du sommet de son éperon, qu’il continue à remuer de plus en plus furieusement.

— Ne vous en faites pas, ma petite, je ne vous demanderai pas de l’avaler aujourd’hui. Il faut se garder quelques distractions en réserve. Par contre, si vous pouviez ouvrir votre bouche pour me recevoir au moment opportun… Regardez-moi dans les yeux, n’ayez pas peur, j’aime à voir le regard d’une gourgandine quand je lui donne ce qu’elle veut…

Et sur ces mots, Monsieur Pierre fixe intensément le visage de Suzy, qui est à deux doigts de sa queue sur laquelle il tire et pousse avec violence lorsqu’un jet soudain atterrit à travers la face de la bonne, dans un soupir bruyant et un frémissement de tout son corps. Il ...