Cauchemar en forêt
Datte: 17/06/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Cindy_bzh, Source: xHamster
Je suis en études supérieures à Narbonne. Je ne rentre chez moi dans le Finistère que pour les vacances scolaires. C'est actuellement les vacances de Pâques, j'en profite donc pour rentrer deux semaines chez mes parents.
Je me retrouve chez eux avec ma jumelle, elle aussi en études supérieures mais du côté d'Antibes. Nous recevons souvent notre grande soeur, qui passe pour nous voir avant que l'on reparte.
J'occupe mes journées en préparant à manger pour mes parents, je vois un maximum mes copines, je travaille pas mal sur mes cours, je vais à la salle avec ma jumelle faire du fitness et de la zumba, je fais du trail dans les bois pour m'entretenir.
Je suis donc partie faire mon footing habituel (un mercredi ou un jeudi), un parcours de douze kilomètres dont huit en forêt. Je fais ce parcours depuis mes quatorze ans, j’en ai vingt et je n’ai jamais eu aucun problème.
Ce jour-là, je croise un homme bizarre sur un petit chemin. Il me regarde de haut en bas plusieurs fois et a du mal à s’écarter pour me laisser passer. Un mec immense qui je pense fait environ deux mètres et de forte corpulence.
Une fois passée près de lui, j’accélère et me retourne un peu plus loin pour me rassurer. Lui s’est arrêté et me relooke toujours, accentuant son regard sur mes fesses mais ça j’en ai l’habitude, donc je suis rentrée chez moi satisfaite de ma sortie running. Je ne pense d'ailleurs plus du tout à cet homme.
Le lundi suivant, vers dix-huit heures, je retourne faire mon ...
... footing habituel. Après environ trois quarts d'heure de course, je vois ce même homme au loin. Il me parait toujours aussi bizarre, il a une vraie tête de fou et m’impressionne par sa corpulence.
Là je me dis qu’il va vraiment falloir que je change de parcours le temps qu’il se promène ici. Heureusement, cette fois j’arrive à sa hauteur sur un chemin où il y a de la place pour passer à deux.
J'accélère en m’approchant de lui pour passer le plus vite possible. Il me dévisage encore de haut en bas mais j’ai moins peur que quelques jours plus tôt, où finalement je suis rentrée sans problème.
Mais il me saisit par le bras très fort avec une main. Puis me tire avec ses deux bras, me traîne dans les ronces et orties pendant environ une à deux minutes. Je crie de toutes mes forces.
On arrive dans un champ de maïs. On passe quelques rangs, il continue de me traîner par le bras et maintenant les cheveux. Puis il s’arrête, me met plus ou moins à genoux ou à quatre pattes et me sert très fort la gorge.
Je ne peux plus respirer, il me parle… si tu ne fermes pas ta gueule de pute je serre tellement fort que tu vas rester crevée ici. D’autres menaces, d'autres insultes. Son regard de mec bizarre est davantage devenu un regard de cinglé !
Je suis effrayée, je pleure de douleur, de peur, je tremble. J’ai peur pour ma vie, vraiment ! Je décide de me taire, je pleure juste. Il me tient à genoux avec une main et avec l’autre il ouvre le bouton de son jean et sa braguette.
Je ...