Vous avez un message
Datte: 16/06/2021,
Catégories:
fh,
ff,
frousses,
inconnu,
Collègues / Travail
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
fgode,
pénétratio,
double,
fdanus,
jeu,
BDSM / Fétichisme
yeuxbandés,
fouetfesse,
initiatiq,
Auteur: Fantasio, Source: Revebebe
... boite. C’était lui.
De : YNot@hotmail. ComEnvoyé le : Sam 26 mars 2011, 17 h 20 min 46 sObjet : Chère Julie,J’espère que vous avez aimé la petite sortie que je vous ai préparée. J’espère que vous ne m’en voudrez pas si je vous avoue que je vous ai accompagnée durant la plupart de l’après-midi. Vous étiez magnifique comme toujours. Éblouissante de beauté, tantôt fragile et émouvante, tantôt animale et dévorante. Jamais aussi belle que quand vous vous offrez librement, sans entrave, quand vous vous abandonnez aux désirs de votre corps de déesse.Je me suis permis de prendre quelques clichés de ces moments d’extase. N’ayez crainte, ils ne sont que pour nous. Regardez-les ce soir en découvrant quelques-uns des jouets que j’ai choisis pour vous.Bonne soirée, ma belle.
Une dizaine de photos accompagnaient le message. Elle n’osait ouvrir les fichiers, tremblant à l’idée de se trouver face aux images de son exhibition. Après avoir vidé d’un trait son verre de whisky, elle a fait défiler les photos. Sortant de son immeuble, le haut de ses cuisses brillant au-dessus de ses cuissardes noires ; assise à la table du kiosque, les jambes croisées sous le regard pénétrant du serveur penché sur sa poitrine ; dans le kiosque, les seins à l’air, le regard vibrant d’excitation ; son cul, coquinement révélé, tandis qu’elle s’éloignait du kiosque ; dans la rue grouillante, sous les regards admiratifs des passants ; et une série bien plus explicite, dans la cabine du sex-shop, offrant son ...
... corps et son sexe béant à l’objectif de la caméra.
Elle ne savait que penser. Il l’avait suivie tout l’après-midi, épiant chacun de ses gestes, capturant à son insu l’image de son corps de plus en plus dénudé. Elle s’en voulait d’avoir été une nouvelle fois son docile jouet, d’avoir répondu à chacun de ses ordres comme une petite chienne obéissant à son maître. Elle avait envie de pleurer. Puis Nadia avait sonné à la porte.
Après avoir refermé l’ordinateur et enfilé un large peignoir éponge, elle avait accueilli son amie.
— Salut. Ça va ? Tu as l’air bizarre.
— Je ne sais plus où j’en suis, Nadia. Je crains que cette histoire finisse par me rendre folle.
— Qu’est-ce que tu racontes ? Tu es fatiguée voilà tout. Je crois que tu as eu pas mal d’émotions ces derniers temps, non ? Il faut décompresser, c’est tout. Allez, sers-nous un verre de whisky et raconte-moi ta journée.
Et c’est ce qu’elle a fait, un peu mécaniquement au début, puis le whisky et leurs éclats de rire aidant, elle a revécu ses extases successives, sentant sa chatte se mouiller tandis qu’elle évoquait les moments les plus intenses de son après-midi. Elles ont regardé les photos une à une, recréant les tableaux de son après-midi. Nadia lui a fait remettre le trench-coat, les bottes et les lunettes noires, se penchant sous le court manteau, tandis qu’elle défilait dans l’appartement, pour mater ses fesses et son con dénudés.
L’excitation grandissant, Julie a même consenti à rejouer la scène du ...