Une espionne au Moyen Orient
Datte: 16/06/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Hardcore,
Auteur: michelemimi, Source: xHamster
... de cette torture est contradictoire car mon corps réagit en me faisant couler comme une fontaine. Aprés vingt minute d'un tel traitement, je m’évanouis sans avoir donné le code. Mon corps est luisant de transpiration et mes cuisses poisseuses de ma cyprine. On me réveille avec un sceau d'au au visage. On retourne la croix et je suis suspendue la tête en bas. Amina commence à me fouetter durement les parties intimes. Cette foi, on était loin des scènes sado-maso simulées pour les photos et le site de ma couverture de star du porno BDSM. Une foi mon corps zébré de coups, Adnan me réitére la question :
« Le code putasse ! »
Je geint sans répondre. Alors il dit à Amina :
« Allons boire une bière au mess des officiers pendant que cette chienne réfléchit. »
Avant de partir, Amina fouette ma chatte et mes seins avec une cravache en me disant :
« Quand nous reviendrons, tu nous supplieras pour parler ! »
Je reste ainsi seule dans le noir, pendue à l’envers, nue, les seins et la chatte brûlante des coups reçus pendant un temps qui me semble interminable. A leurs retour, le Colonel avant toute question, me gifle et tire sur mes tétons jusqu'à ce que je hurle de douleur.
« Le code sale chienne ou je te laisse entre les mains d'Amina! »
La tête me tourne. Je ne sais plus qui je suis et je craque lorsqu'il me fourre une matraque électrique dans le cul. La décharge est si douloureuse que je hurle mon code.
Satisfaits, le colonel et Amina quittent la salle ...
... d’interrogatoire en disant aux soldats :
« Amusez-vous avec et transférez là ensuite dans la section d'isolement. »
Les soldats me détachent et profitent de moi une bonne heure en me prenant de tout côtés. Puis je suis enfermé dégoulinantes de sperme, le corps et mon intimité meurtrie dans une geôle sans fenêtre. Cette incarncération a duré je ne sais combien de temps. Mais je suis violée quand bon leurs semble. Je ne suis plus humaine. Je ne suis qu'un vide couille, un sac à foutre. Si je meure, j'irais à la décharge comme un vulgaire détritus.
Plusieurs mois passent ainsi sans que je revois le Colonel ou Amina. Puis un jour un garde me traîne dans une salle où Adnan, toujours très élégant et parfumé, m’attend. Son premier bonjour est de me dire en me tendant un journal :
« Regarde ce que tes idiots d’amis Français ont fait. »
Je regarde hébétée le journal. La date me confirme que ça fait trois mois que je subit les outrages de ces salops. Un gros titre en première page annonce « Grosse bavure des états capitalistes Européens ».
« Ces cochons d'incroyants on détruit avec un missile notre lieu de culte le plus sacré. Ils vont payer ça. Amina est passée Colonel et maintenant c'est elle qui dirige la propagande anti Européenne au moyen orient. Pour marquer le coup, ton procés fait la une. Que penses-tu de la photo ? »
Horrifiée, je me vois nue, mon visage parfaitement reconnaissable escortée par deux policiers lors de mon arrestation. Folle de rage, je lui jette ...