1. Troisième jeudi


    Datte: 15/06/2021, Catégories: fh, extracon, extraoffre, voisins, nympho, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, facial, Oral fgode, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, jouet, attache, yeuxbandés, totalsexe, Auteur: Petar, Source: Revebebe

    Les jeudis se suivent et se ressemblent, Martha me reçoit, indécente et nue, à la porte et m’invite à entrer. Pour éviter des habits déchirés et des boutons arrachés, je m’apprête à dégrafer ma chemise pour me mettre en tenue de "travail". Elle m’arrête d’un geste de la main :
    
    — Attends, mon mari est là, dit-elle en rougissant.
    
    Loïc m’accueille avec une chaleureuse poignée de main. Hypocrisie, sincérité ? Je me pose la question.
    
    — Voilà, articule-t-il en me regardant joyeusement dans les yeux, j’ai préparé Martha pour cet après-midi, je viens de la baiser sur la table et lui envoyer ma purée dans son antre. Je lui ai dit qu’il n’était pas nécessaire de s’habiller, vu que tu vas de toute façon l’utiliser nue et qu’en plus elle ne s’est pratiquement pas vêtue de la semaine, la faute à qui ?
    
    Je baisse les yeux, suis-je confus ? Je devrais peut-être l’être ? Une rapide réflexion m’oblige à dire que je ne le suis pas, mais alors pas du tout…
    
    Nous nous installons à table, pommes purée, haricots, fricandeaux avec Martha nue qui virevolte de la cuisine à la table, à l’évidence heureuse de la tournure des évènements.
    
    — Martha, le sperme te coule en bas les jambes, tonne Loïc.
    
    D’un doigt gracile, sourire enjôleur, elle ramasse le jus à l’intérieur des cuisses et lèche voluptueusement d’une langue avide.
    
    — Ma femme, tu es une salope, lance son mari, un peu agressif.
    
    Je vole au secours de la belle :
    
    — Il y a une différence entre quelqu’un qui aime le sexe ...
    ... et une salope, une différence fondamentale qui passe par le respect de l’autre.
    — Oui, j’en conviens, dit Loïc radouci, ma femme est peut-être un peu vicieuse, mais le terme que j’ai utilisé est trop vulgaire et ne lui convient pas.
    
    Le repas se termine sans autre incident. Au moment du café, Loïc, attire sa femme sur ses genoux, lui tripote les seins, lui caresse le sexe, l’embrasse amoureusement et annonce, me regardant :
    
    — Je te la laisse, fais-lui du bien, calme un peu sa libido. Ce soir, en rentrant, j’aimerais la trouver en pleine forme…
    
    Et il s’en va sans autre forme de procès.
    
    — Loïc est fâché de ce que nous faisons, dis-je, innocemment.
    — Pas du tout, rétorque Martha, ta venue et ce que nous faisons l’excitent beaucoup. Il ne m’a jamais autant fait l’amour que depuis que nous nous connaissons. Son parler est naturellement un peu cassant et cynique, je m’y suis habituée.
    
    Elle se tait, me regarde amoureusement, tend ses mains et défait la ceinture de mon pantalon. Je ressemble rapidement à Adam en érection qu’aucune feuille de vigne n’accepterait de cacher. Avec un énorme soupir, elle agrippe ma hampe et la dirige immédiatement vers son vagin humide à souhait. Nous faisons l’amour, comme si c’était la première fois, lentement, pour ne pas casser l’autre. La volupté de ces étreintes nous transporte au septième ciel, au point de non-retour où la jouissance éclate en mille feux multicolores.
    
    Assis l’un à côté de l’autre, dans le canapé, nous regardons ...
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