1. Je me suis farci le père de ma meilleure amie.


    Datte: 15/06/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Le Matou libertin, Source: Hds

    ... mains sous mes fesses et m’a fait monter et descendre puis il n’a fait mettre à genoux de part et d’autre de son bassin et là, c’est lui qui m’a pistonné…
    
    Sa bite allait de plus en plus vite dans mon anneau serré sans en sortir… Waouh le coquin, il savait y faire !
    
    Quand le plaisir m’a emporté, il s’est lâché lui aussi… Malgré le latex, j’ai senti ses giclées pulser…
    
    QUE C’ETAIT BON !
    
    La cavalcade avait été ardente et je me suis affalée sur le torse d’André pour retrouver mon souffle, mais rien que de sentir son sexe encore enfoncé en moi, j’avais de nouveau une envie folle qu’il me baise !
    
    Je me suis dégagée et j’ai retiré la capote qui était pleine de sperme… Il n’avait pas lésiné !
    
    J’ai pris ce membre encore turgescent entre mes mains et je l’ai avala au plus profonde de ma bouche… Je voulais me délecter de la saveur et de l’odeur du sperme de mon amant que je n’avais pas encore goûté…
    
    Mais ce que je voulais aussi, c’est le faire raidir à nouveau pour qu’il me baise comme une vraie salope que j’étais devenue depuis notre première fois…
    
    • Viens… baise moi fort ! Vite ! Je suis à toi ! Défonce-moi la chatte comme tu m’as défoncé le cul !
    
    • Tu ne perds rien pour attendre...
    
    • Ce n’était qu’un prélude !
    
    • J’attends !
    
    Allongée sur le dos, les cuisses et les bras largement ouverts, j’attendais la saillie… la chatte baveuse et ouverte d’envie !
    
    • Quelle salope ...
    ... tu fais… Tu n’en as jamais assez… mais çà me plait !
    
    • Viens… Trêve de bavardage…
    
    Et là, André s’est placé entre mes cuisses et a approché son sexe du mien. Il m’a éperonnée d’un seul trait me faisant pousser un hurlement d’attente et de plaisir tant il m’avait fait du bien. Puis il a entrepris de me baiser, lentement d’abord puis de plus en plus vite… J’avais l’impression que son sexe entrait dans le mien comme une bielle bien huilée…
    
    Pour mieux le sentir, j’ai noué mes jambes sur ses reins en lui disant de bien m’envoyer en l’air, que j’avais soif de sa bite… Bref, je délirais complètement…
    
    Je ne sais pas combien de fois j’ai pu jouir au cours de cette nuit et après quelques heures de sommeil, une douche rapide, je sautais dans un taxi pour regagner mon domicile pendant qu’André en faisait autant.
    
    Avant de nous quitter, il m’avait remis « un petit cadeau » me demandant de ne l’ouvrir que chez moi… J’avais hâte !
    
    Lorsque j’ai ouvert le papier d’emballage, il y avait une lettre d’André :
    
    « Voici pour toi… quand je te manquerai trop, tu te souviendras du véritable… Je l’ai fait mouler pour toi en arrivant à Amsterdam et je l’ai récupéré avant de prendre le train. Merci pour ces heures merveilleuses. »
    
    Et là, j’ai découvert dans le coffret, une reproduction du sexe d’André dans une matière à la fois souple et suffisamment rigide pour se faire plaisir.
    
    Merci mon bel amant ! 
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