1. Faible Christine 3


    Datte: 15/06/2021, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Accent, Source: Hds

    ... comme pour happer la chose qui chatouille sa vulve irritée. Le membre cherche la chaleur et l'humidité du con mis en appétit. Les sexes se tutoient, vont-ils s'unir? Non, la verge se retire. Alors s'installe un nouveau jeu. Chaque fois que comme ma femme, je crois la pénétration imminente, à la dernière seconde le membre viril obéit à une pulsion qui l'éloigne de la fente baveuse. C'est le supplice de Tantale transposé dans un lit.
    
    Christine s'impatiente, grogne de frustration, Georges rit du bon tour. Cela fait partie de sa tactique. Il se fait fortement désirer et n'accorde pas la pénétration attendue. Mais le gland se fraie souvent un chemin dans le bas de la crevasse assoiffée de sperme avant de fuir pour mieux revenir. Christine s'énerve, Christine se plaint, menace de quitter le lit. Georges jubile. Cette fois la femelle alanguie se rend, supplie qu'il la prenne. Il a gagné ! Elle ne parlera plus de viol, elle n'est pas seulement consentante, elle réclame l'union, la pénétration de son fourreau par la bite proche. Alors, par en dessous, avec le secours d'une main, l'homme consent, le gland se glisse entre les petites lèvres ivres de sang accumulé. Christine lâche un long feulement. Ils ne forment plus qu'un. Je suis véritablement cocu, je le vois de mes yeux.
    
    C'est parti. L'homme charge, elle reçoit les coups de boutoir. Et cela va durer en multiples variations. De la position du missionnaire les amants passent à une levrette que Christine en femme d'expérience ...
    ... soutient sans plier, bras tendus et seins balancés en contrepoint. Georges fatigue-t-il ? Il se laisse couler sur le dos et montre son sexe ramolli par le long déploiement de ses allers-retours. Le chevauchement m'a paru interminable. Christine comprend l'ordre, dirige sa bouche vers la quéquette, plonge dessus et reprend une rapide fellation qu'elle termine en engloutissant au fond de sa gorge la queue entière, quitte à cracher en se relevant. L'objet du désir raffermi, ma femme enjambe son maître, va se planter sur la tige raide et se laisse glisser à fond. La descente rapide me renseigne sur l'état avancé de la lubrification du vagin gourmand.
    
    Elle s"est assise sur le ventre de l'homme, a cherché la position la plus confortable en avançant ou reculant ses fesses, elle a décrit quelques cercles autour du moyeu pour s'assurer que la prise était bonne. Georges a placé ses deux mains sous les globes blancs des fesses, il la soulève. Le dos monte, s'élève, laisse apparaître la majeure partie de la tringle brillante de cyprine, mais retombe. Peu à peu le mouvement reprend, s' accélère. Les bras poilus encerclent la taille solide, plaque le ventre et les seins sur le corps immobilisé du receveur. Désormais seule balance verticalement la croupe de ma salope de femme.
    
    Je suis atterré de voir comme elle se démène, le tronc immobilisé mais les fesses en mouvements vifs, précipités, avec ce bruit singulier et caractéristique de corps trempés en frottements rapides. Et tout à coup, ...
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