1. À la Claire fontaine


    Datte: 14/06/2021, Catégories: fh, couple, ffontaine, pied, Masturbation intermast, Oral fist, init, Humour Auteur: Patrick D, Source: Revebebe

    ... En résumé, cela voulait-il dire que je n’avais plus rien à prouver, c’était entendu, mais qu’il serait bien temps de me manier l’arrière-train, et les méninges, pour quitter la routine de la baise à la papa ? Nos transports n’avaient-ils plus que la saveur d’un plat de nouilles au beurre ? Ça nourrit, on peut s’en contenter, mais la patronne voudrait varier le menu. Grouille-toi avant qu’elle ne dégotte un nouveau maître queux ! Étais-je à deux doigts de m’entendre dire : « Finis à l’aise, moi je dors déjà ? »
    
    J’eus un mouvement de recul et, les yeux ronds, je cherchai son regard.
    
    — Oh ! fais pas la gueule ! fit-elle, d’un air un tant soit peu exaspéré.
    
    Pour l’heure, je dus bien me résigner et remiser mes interrogations au placard, pour la simple raison qu’elle avait plaqué sa main sur mon pyjama et commençait à m’asticoter le service trois pièces.
    
    — J’en ai vraiment envie, me dit-elle, les lèvres pratiquement collées à mon oreille. J’te jure, c’est fou, je mouille déjà comme une folle.
    
    À voir les étincelles lubriques pétiller dans son regard, je n’eus aucun doute sur cette dernière affirmation. Elle se mit à genoux et ôta le long t-shirt qui lui servait de chemise de nuit.
    
    — Regarde-moi…
    
    C’est ce qu’elle fit ensuite qui me fit comprendre que son excitation était à son zénith. Ce soir, je pouvais attacher ma ceinture, m’accrocher à la main courante, ce soir elle lâchait tous les chevaux-vapeur. Ce soir, elle ouvrait la cage de la tigresse en elle et elle ...
    ... était déchaînée ! Je le compris en effet, quand, nue, à genoux sur le divan, elle prit en main ses seins, les pressa l’un contre l’autre, les leva au maximum, puis, la tête penchée, se mit à les lécher. Sa langue passait de l’un à l’autre, s’insinuait entre la raie formée, telle celle partageant les fesses, par ces deux melons compressés. Partout elle laissait derrière elle la trace luisante de sa salive, dans laquelle je voyais briller un instant le reflet de la lumière du salon, avant qu’elle ne s’évapore.
    
    A chaque fois que, par le passé, elle m’avait offert ce spectacle, s’en étaient suivis des ébats d’où j’étais ressorti lessivé, tel un boxeur qui vient de s’enfiler douze rounds. Mais bon Dieu, j’aimais ça ! Et d’ailleurs, la réaction ne se fit pas attendre : un piquet de tente se dressa dans mon pyjama.
    
    Quand elle passa la vitesse supérieure et prit en bouche un de ses tétons, tenant son sein à deux mains, galvanisé par cette vision extatique (qu’est-ce que je cause bien tout de même), je glissai un pied entre ses jambes. Je me frayai un passage entre ses cuisses pour que mon gros orteil puisse effleurer son sexe.
    
    C’était pas du pipeau, elle mouillait abondamment ! Il devait à coup sûr faire moins humide sous les tropiques. Rien qu’en caressant ses grandes lèvres, je sentais le liquide chaud couler le long mon orteil. Quand je vins toucher son clitoris, elle poussa un petit cri, puis profita de l’occasion pour changer de sein. Elle se le massa un instant, puis ...
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