1. À la Claire fontaine


    Datte: 14/06/2021, Catégories: fh, couple, ffontaine, pied, Masturbation intermast, Oral fist, init, Humour Auteur: Patrick D, Source: Revebebe

    ... m’observait en se caressant le clito tandis que je m’enduisais les doigts. J’en mis une couche qui me parut astronomique, cette saloperie ne voulant pas s’arrêter de couler du tube. Le contact était froid de prime abord, mais devenait agréablement chaud après un court instant. Je me félicitai d’avoir douillé une somme colossale pour un produit de marque et de ne pas m’être contenté de vulgaire vaseline. Ces gars fabriquaient les préservatifs les plus connus au monde, ils étaient dans la branche, j’avais donc estimé, à raison ça se vérifiait, que l’on pouvait leur faire confiance.
    
    Quand je glissai à nouveau mes doigts en son intimité, Claire eut un frisson et serra légèrement les cuisses sous l’effet de la fraîcheur, mais elle se détendit rapidement. Le lubrifiant remplit tous ses devoirs et mes quatre premiers doigts s’introduisirent sans peine. Claire haletait, ses mains poignant dans les draps. Avec une infinie patience et une infinie douceur, je glissai petit à petit mon pouce. Millimètre par millimètre, il pénétrait à son tour. Claire gémissait, criait, gloussait.
    
    Je guettais sur son visage le moindre signe de douleur mais je ne pouvais plus rien distinguer : ses yeux roulaient dans tous les sens, de la sueur lui perlait au front et elle se mordait les lèvres. Je n’eus plus qu’à me dire que si elle devait souffrir, elle-même se chargerait de retirer ma main. Je sentais se dilater son vagin au fur et à mesure que mon pouce s’enfonçait. Quand il fut tout entier dans ...
    ... son intimité, je pliai mes doigts et dans une dernière poussée, j’entrai ma main jusqu’au poignet. À ce moment, Claire poussa sur ses pieds décollant ses fesses du lit, et tout son corps se mit à vibrer ; elle poussa un cri tellement fort que j’en fus effrayé puis tout son corps retomba, inerte, sur le lit.
    
    Au bout d’une éternité, elle émergea. Ses yeux s’ouvrirent avec peine, elle se tourna vers moi.
    
    — J’ai soif, souffla-t-elle, la bouche pâteuse.
    
    Je cavalai lui chercher un verre d’eau et constatai qu’à mon retour, elle n’avait pas bougé d’un iota. Une légère inquiétude s’empara de moi. À vrai dire, je craignais de lui avoir fait mal, d’avoir bousillé un truc à l’intérieur, ou alors distordu une paroi, que sais-je. Je la fixais d’un air anxieux. Elle me prit le verre des mains et en avala la moitié d’un trait.
    
    — Tu sais…
    
    Elle reprit son souffle et s’enfila l’autre moitié du verre. J’attendais la suite avec appréhension.
    
    — Tu sais, demain, quand je verrai Bouchra, je demanderai à cette foutue salope pourquoi elle ne m’a pas parlé de ça plus tôt !
    
    Et elle partit d’un fou rire salvateur. Pour ma part, je poussai un soupir de soulagement. Se jetant à mon cou, elle ajouta :
    
    — Oh punaise, elle avait raison, c’était géant, j’ai pris un pied d’enfer. J’te jure qu’il faudra pas mettre ça au placard. Garde le lubrifiant bien précautionneusement, ça servira encore.
    
    Je ne la pénétrai pas ce soir-là. Non qu’elle me le refusa, mais je pense qu’aucun de nous deux ...
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