1. L'initiatrice


    Datte: 14/06/2021, Catégories: f, ff, fplusag, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, init, initff, Auteur: Katzou, Source: Revebebe

    ... qui bourdonnait continuellement au creux de ses reins, de son ventre, elle était comme une de ces fleurs, montrée, exhibée et offerte aux regards…
    
    Elle en vint à aimer toucher doucement l’épaule de Pascale, à aimer poser sa main sur sa hanche, et se surprit à essuyer une goutte qui s’était formée à la pointe d’un sein rond. Pascale ne disait rien et laissait sa main se poser, s’alourdir sur sa peau brune.
    
    Les plantes vertes formaient de grands rideaux verts qu’elles étaient obligées d’ouvrir pour progresser. Leurs pieds nus foulaient une mousse verte et épaisse, gorgée d’eau qui giclait à chacun de leur pas. Bientôt elles se retrouvèrent toutes les deux salies par la terre que les arrosages faisaient gicler alentour. De grands bacs supportaient la fierté de Pascale : des orchidées, fleurs cireuses et colorées qu’immédiatement Clara compara à un sexe de femme, torturé et compliqué, secret et lourd, fermé et ouvert en même temps. Elle se troubla et Pascale le remarqua.
    
    — On dirait un sexe de femme, tu ne trouves pas ?
    
    Elle avait baissé le ton de sa voix et s’était approchée d’elle, encore plus, sa poitrine la frôla.
    
    — Oui, c’est vrai.
    
    Clara eut du mal à s’exprimer, un peu intimidée par le sujet, mais elle acquiesça.
    
    — C’est ce que je me disais, celle-ci ressemble à un sexe de jeune fille, je ne m’étonne plus que les hommes en soient si friands !
    — Tu as raison, ils adorent ça !
    
    Pascale avait mis sa main en coupe derrière une fleur et l’avait caressée ...
    ... doucement, écartant les pétales lourds et cireux, ouvrant la fleur délicatement. Clara se sentait partir en la voyant et un désir soudain et impérieux la submergea. La fleur avait un parfum lourd et acide en même temps, un parfum ou plutôt une odeur animale, une odeur sauvage et primaire. Les doigts bruns de Pascale se faisaient doux, lents et ouvrirent le sexe de Clara, froissèrent ses lèvres, plongèrent en elle, énervant son clitoris qui se redressa, gonflé et roide sous le voile de sa vulve. Elle se secoua, chassant le fantasme qui l’assaillait. Pascale avait eu un sourire en la regardant.
    
    Clara essuya l’eau qui gouttait sur son visage, elle était trempée, mais cela ne la dérangeait pas, l’eau qui la mouillait était chaude et douce à sa peau. Pascale lui avait affirmé que c’était de l’eau non calcaire. Elle respira un grand coup.
    
    — Viens, je vais te montrer le vivarium, tu n’as pas peur de certains animaux ?
    — Je ne crois pas, quels animaux ?
    — Nous avons ici un endroit avec des serpents, non venimeux, bien sûr !
    — Des serpents ?
    
    Un frisson froid descendit au creux de ses reins, et elle se demanda si elle allait continuer, mais Pascale déjà l’entraînait.
    
    De nouveau, ses fantasmes l’assaillirent, Cléopâtre encore et toujours, le serpent qui glisse sur sa peau, qui la pique, enfonçant ses dents recourbées d’où perle déjà le poison dans la chair gonflée de son téton, la douleur, vive et horrible, l’engourdissement qui la gagne. Frissonnant malgré la chaleur elle ...
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