1. Logement provisoire : Sylvie (5)


    Datte: 14/06/2021, Catégories: Hétéro Auteur: fantaflo, Source: Xstory

    Semaine 25 / Mardi 19 juin
    
    Il est 20h passée de quelques minutes quand vous recevez un mail de Sylvie : "Soirée, 22.06". Vous l’ouvrez. Il est assez bref. Sylvie vous donne rendez-vous en haut des remparts d’un ville voisine d’une vingtaine de kilomètres. Elle précise que la soirée se veut élégante.
    
    Vendredi 22 juin
    
    En milieu d’après-midi, vous commencez à vous préparer et vous mettez un costume. Vous avez décidé de vous rendre en train au lieu du rendez-vous. Vous vous réjouissez que la température soit plutôt clémente en cette fin juin.
    
    A 19h, vous arrivez sur les remparts. Coup d’œil à 180 degrés : pas de traces de Sylvie. Vous vous avancez et prenez place sur un muret. Une femme à une dizaine de mètres de vous se lève et se tourne. Sylvie. Vous en avez le souffle coupé. Fière de son bon tour, Sylvie sourit de toute son immense bouche. Facétieuse, elle vous a pris au mot et on peut dire que le résultat est bien au delà de votre imagination. Le chemisier rouge en satin moule complètement une poitrine qui vous semble démesurée. Hauts perchés, ses deux obus provocateurs semblent placés ainsi pour éviter tout risque de noyade. Sa taille a encore diminué et elle est ajustée par le tissu qui vient s’échouer sur les hanches toujours bien larges de Sylvie, qui a osé la jupe crayon, évidemment noire. Ce putain de cul... Et dire qu’elle le trouve gros !
    
    Vous vous levez et la prenez dans vos bras.
    
    — Sylvie ! Tu es... Je n’ai pas de mots ! Sublime ! Magnifique ! A ...
    ... la fois élégante et sexy ! Tu me rends fou !
    
    Elle rit.
    
    — C’est bien comme ça que tu voulais me voir, non ?
    
    Vous la regardez encore une fois des pieds à la tête puis vous faites la moue :
    
    — Non, pas tout à fait. Tu permets ?
    
    Elle vous regarde sans comprendre. Délicatement, vous ouvrez un bouton supplémentaire de son chemisier, dévoilant désormais le sillon entre ses seins. Elle sourit.
    
    — Je trouvais que c’était un peu... too much.
    
    Vous lui faites un clin d’œil :
    
    — Tu permets quand même que je mate un peu !
    
    Elle rit :
    
    — Après tout ce que tu as fait pour moi, c’est la moindre des choses !
    
    Vous éclatez de rire. Elle vous prend par le bras et vous partez.
    
    Sylvie vous emmène dans un excellent restaurant de la ville. Vous lui rappelez vos premières rencontres, ses tenues. Elle en rit aujourd’hui et vous lui dites qu’elle doit maintenir le cap. Sylvie vous parle de son travail. Sa collègue a reçu un avertissement car le boss a remarqué qu’elle se reposait sur le travail de Sylvie. Depuis, elle est toute gentille, toute mielleuse. Vous lui demandez ensuite :
    
    — Au fait, tu avais dis que ce vendredi était particulier. Pourquoi ?
    
    — A vrai dire, c’était pour te convaincre !
    
    Elle rit. Puis ajoute :
    
    — En réalité, mon mari avait prévu de partir camper avec les enfants et c’était plus simple pour sortir dans cette tenue sans avoir à me justifier. Je trouvais sympa d’être vêtue de la sorte puisque c’est ainsi que tu m’avais imaginée.
    
    — Tu as ...
«1234»