1. Confession d'un homme perdu (1)


    Datte: 15/05/2018, Catégories: Gay Auteur: Vannick, Source: Xstory

    Ceci est ma confession :
    
    Je m’appelle Nicolas, un homme de 42 ans en couple avec Nathalie, 53 ans depuis quelques années.
    
    Nous nous sommes rencontrés au travail, où nous avions flirté par messagerie interposée en face à face pendant que nos collègues pensaient que nous étions absorbés par nos tâches.
    
    Elle était, à cette époque, coincée dans un mariage malheureux, mais son corps respirait l’envie, un bouton de chemisier trop ouvert par-ci, un pantalon taille trop basse et des dossiers à ramasser laissant entrevoir ses dessous par-là. J’ai toujours aimé ce type de femmes sophistiquées qui laissent plus deviner que montrer, et te fait monter la température.
    
    Aujourd’hui, les années ont passé, et sa libido s’en est allée avec la ménopause, alors que mon envie d’elle demeure toujours aussi forte.
    
    Au préambule de cette histoire, il y a une anecdote : j’aime quand Nathalie me suce, qu’elle chevauche son gode. Alors qu’un soir j’avais enfin réussi à la convaincre de me lécher et que tout se déroulait le mieux du monde, je lui demandais d’aller chercher son gode pour m’occuper de son cul et elle répondit : «- Non, tu n’as qu’à essayer un jour, tu verras que l’on peut pas toujours en avoir envie ! ».
    
    Interloqué, je n’ai pas répondu, et l’ambiance presque romantique avait disparu.
    
    A compter de cet épisode, nos rapports sexuels ont continué à diminuer alors que mes besoins restaient les mêmes et j’essayais de les combler par une masturbation quotidienne. Cependant, ...
    ... je considérais que passé 40 ans, il était triste de se satisfaire comme un ado de 14…. et décidais de m’abstenir jusqu’à ce que Nathalie soit de nouveau d’humeur folâtre. Malheureusement, elle avait manifestement moins de besoin que moi.
    
    Et c’est comme cela que tout a commencé pour moi :
    
    A force d’abstinence, j’avais littéralement les couilles pleines, et un matin alors que j’allais à la selle, il se passa un événement qui a changé ma vie. Assis tranquillement sur la cuvette des toilettes, je poussais pour faire sortir un bel étron quand pendant l’effort j’ai commencé à ressentir des sensations dans le bas ventre assez déroutantes et plus la pression s’accentuait pour le pousser, plus les sensations étaient agréables. C’est alors qu’en regardant ma bite, je vis que du sperme gouttait bien que je ne sois pas dur. Le passage de la merde avait massé ma prostate et m’avait donné un peu de plaisir dont ma compagne me privait.
    
    Pris dans l’envie de renouveler cette expérience, je décidais après ma douche de sortir ce gode qui était à l’origine de notre dernière dispute au lit et me souvenais de ses mots « Tu n’as qu’à essayer un jour ... »
    
    C’est un petit gode rose, lisse de près de 16 cm, légèrement courbé au niveau du gland, une bite très stylisée en somme.
    
    Tout à la fois excité et mal à l’aise, car je trouvais l’idée de l’essayer gay et me suis toujours senti hétéro, je décidais de franchir le pas.
    
    J’étalais une serviette au sol, renversais la chaise Kartell (où ...
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