1. Tahina


    Datte: 14/06/2021, Catégories: fh, hplusag, grosseins, Collègues / Travail intermast, pénétratio, Humour sorcelleri, québec, occasion, extraconj, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    ... et :
    
    — Yes ! s’écria-t-elle soudainement folle de joie.
    — Quoi ? demanda Tahina en s’essuyant les yeux d’une main, l’autre glissait sur ma cuisse sous la table puis elle me pressa l’entrejambe. Je me raidis sur ma chaise en ravalant ma salive.
    
    Petit Jésus !
    
    Discrètement, je lui rendis la politesse en posant une main sur sa cuisse très ferme.
    
    — La maison Delorme. Ils ont accepté, on va passer une fin de semaine complète dans l’une des dix maisons certifiées hantées en Amérique du Nord.
    
    Silence total, on aurait entendu réfléchir un fantôme de fonctionnaire. J’étais déjà bandé dur en glissant ma main sous la jupe courte de Tahina qui écarta les jambes légèrement ce qui me permit de toucher la peau douce là où les bas s’arrêtaient puis son slip de coton. Ses beaux grands yeux noirs se fermèrent un petit peu.
    
    — Ne sautez pas de joie ! lança finalement ma femme déçue.
    — Ben, fis-je un peu distrait, c’est abandonné et au milieu de nulle part en Mauricie, pas de courant, pas de chauffage et on est en novembre. Cinquante pièces environ sur trois étages, sans parler des deux ou trois sous-sols dont un inondé.
    
    Du bout des doigts je sentais la forme bombée du sexe de la belle Haïtienne sous le tissu léger du slip et la chaleur qui se dégageait de sa vulve probablement humide.
    
    — Pis y a juste le train qui passe par là, et encore… rajouta la réalisatrice assise en face de moi en se rongeant un ongle. Trois miles à marcher dans le bois, du chemin de fer au manoir. ...
    ... Donc, pas de génératrice. Sacré problème de logistique, même un hélicoptère ne peut pas se poser dans le coin, c’est juste de la forêt à perte de vue.
    — Sans parler de la neige, dit le cameraman en lissant sa longue barbe, à ce temps-ci de l’année, là-bas…
    
    Tout le monde grimaça, mais moi pour une tout autre raison. Tahina pressait mon sexe durci sous mon jean, ça m’électrisa.
    
    — Ça va nous faire de beaux mollets, une balade en plein bois ? fit Marie. Et l’hydravion ? Y doit bien y avoir un lac dans le coin ou une rivière ? Il y en a partout ici au Québec.
    — Popa ne prend pas l’avion ! protestai-je en déglutissant.
    
    J’avais de grosses chaleurs.
    
    — Popa y marchera, c’est bon pour le cœur.
    
    Encore des rires tandis que je soupirais.
    
    — OK ! dis-je essayant de me concentrer en glissant mes doigts sous la culotte de l’Haïtienne sur son mont de vénus glabre (elle s’épilait la chatte. Wow !) Mais faut amener pas mal de batteries pour les caméras au cas où votre avion serait trop minuscule pour la génératrice, et du lunch, pis des sacs de couchage.
    
    Tahina descendit la fermeture éclair de mon jean lentement, fourra la main dans ma braguette puis sous mon slip, agrippa mon membre durci et le sortit tant bien que mal sous la table pour commencer à me branler avec une douceur des plus agréables. La salle était si sombre que notre petit jeu passait inaperçu, enfin je l’espérais, mais tout de même, cela me donnait de sacrées sensations et me rendait un peu nerveux. Essayez ...
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