1. La bourgeoise et le marabout (51)


    Datte: 11/01/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... bien s’amuser. Comme je l’ai maintes fois écrit dans mes récits, il ne faut jamais dire « Fontaine, je ne boirai point de ton eau... ».
    
    Je demande donc à Pierre de me suivre au sous-sol où je souhaite choisir quelques lingeries sexy. Il me suit bien docilement et, tandis qu’il descend derrière moi dans les escaliers, je devine son regard sur mes fesses mises en valeur par une robe courte et mes jambes perchées sur des talons hauts. J’ondule un peu plus de la croupe, histoire de le mettre sous pression, au propre comme au figuré !
    
    Une fois en bas, je lui ordonne de se mettre nu et de remettre son manteau ouvert sur lui. Devant mon air autoritaire, il s’exécute et je peux enfin voir son sexe et ses bourses compressés dans la cage qu’il porte. Je lui demande de me confier la clé de la cage que je range dans mon sac à main. Je me dirige vers un rayon où je repère une ravissante robe en simili noir. Je demande à Pierre de m’attendre en dehors de la cabine, assis sur un petit fauteuil, pendant que je me change. Lorsque j’en ressors, je me dirige vers Pierre, toujours assis, et lui dis d’ouvrir son manteau. Ensuite, je pose un pied sur son genou et je lui demande ce qu’il pense de la robe. Placé comme il est, il a une vue parfaite sur mon entrejambes et peut, tout à loisir, mater les jarretières de mes bas et le fin tissu de mon string blanc qui dessine parfait la fente de ma chatte. J’écarte un peu plus les jambes et me colle encore plus près de lui, mon bas-ventre à la ...
    ... hauteur de son visage. Je lui dis.
    
    — Que pensez-vous de mon parfum intime Pierre ? Vous convient-il ?
    
    Il est rouge, un peu congestionné et a un peu de mal à me répondre
    
    — Vous avez un parfum particulièrement suave, de femelle en chaleur. J’adore !
    
    Je recule un peu et, de la pointe de mon escarpin droit, j’appuie sur la cage de chasteté. Mon soumis émet un petit cri de douleur, il faut dire que sa queue est entièrement comprimée, car elle voudrait bien bander.
    
    Je tourne le dos à Pierre et lui demande de délacer ma robe dans le dos et de la faire glisser à mes pieds. Il s’exécute, bien docile, et je me retrouve devant lui en soutien-gorge demi-balcons, porte-jarretelles, string et bas noirs. Je lui fais face de nouveau, très près de lui et je lui ordonne.
    
    — Vous êtes mon soumis, Pierre. ! Faites-moi jouir de votre bouche et de vos mains. Profitez-en bien, car il n’est nullement question que je vous en donne plus.
    
    Une de ses mains se glisse entre mes jambes et il commence à me caresser la chatte avec lenteur. Son autre main fait le tour de ma taille et parcourt mes fesses avec douceur. Sa bouche va d’un sein à l’autre et il s’applique à bien m’exciter les tétons. Au bout de quelques minutes, deux de ses doigts se glissent dans ma chatte. Il humecte deux doigts de son autre main et les glisse délicatement dans mon cul. Tout en me doigtant de plus en plus profondément, il me mordille la pointe des seins. Sensible comme je le suis à un tel traitement, je ne tard pas ...