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L'escalier de la luxure...ou comment j'ai découvert que ma femme était une salope ! (8)
Datte: 13/06/2021, Catégories: Zoophilie, Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
" Ça y est... je suis une chienne... au sens littéral du terme. J’ai réalisé un fantasme qui me dégoûtait encore, quelques semaines avant que les parents de mon mari ne viennent chez nous. Enfin, je dois avouer que je n’ai pas commis que cela. A partir du moment où je me suis offerte à mon beau-père, tout est parti de travers... ou à l’endroit, suivant l’optique que l’on peut saisir de la situation. Devant l’incapacité de mon mari... oui, je parle de toi, mon chéri, petit Fabrice, toujours inféodé à ses parents..."le petit toutou à sa maman" ! Et bien vois-tu, à présent, c’est moi qui suis la chienne de tes parents ! Tu m’as perdue pour toujours ! Tu ne peux imaginer ce que je ressens dans mon corps, ma tête et mon âme ! Les émotions toujours plus fortes, le dégoût mêlé à une excitation sans bornes. Un mélange de terreur et de luxure. Des choses qui me révulsaient il y a encore peu, et qui sont pour moi à présent, une source de vie, de jouissance et de pouvoir. Mon corps m’échappe, il est livré à des gens que je ne connais pas, que parfois je ne vois même pas. A des animaux... des insectes, ou de petits rongeurs qui se sont introduits dans mon vagin. Cela m’effraie, me dégoûte, et pourtant la tentation est toujours trop forte. Je cède à ce que l’on me demande. Je les vois guetter mes réactions, les expressions de mon visage, chaque parcelle de jouissance qui naît dans mon regard, dans les gémissements que je pousse, les hurlements quand je souffre ou je ...
... jouis. Au début, j’étais persuadée que je faisais tout cela pour ma maîtresse, ta mère, mon chéri, mais en définitive non. Je le fais pour moi, pour mon plaisir, mes extases. Le dégoût se transforme en plaisir, en joie, en désir toujours inassouvi. J’ai besoin d’aller de plus en plus loin. D’élargir le champ des possibles. Toujours plus loin, toujours plus fort, toujours plus trash, toujours plus abject ! Mon corps est livré aux caprices sexuels d’autres personnes, et pourtant je ne l’ai jamais autant senti vivant. Ma volonté s’est altérée, je suis une esclave, et pourtant je ne me suis jamais sentie aussi libre d’explorer tous mes fantasmes. En réalité la maîtresse c’est moi. Ta mère n’est que l’esclave de mon désir enfoui, le catalyseur de mon inconscient déchaîné ! Je vais te raconter comment je me suis fait saillir par un chien. Tu vas voir, tu vas adorer... et après tu verras les images ! Fin de ma confession du jour... — Numéro 10”, autrefois Cécile, épouse aimante. " Ce ne fut que 3 jours après le dernier message que Fabrice reçut cette confession de sa femme, Cécile, "enlevée" par ses parents, dont la mère Josiane, devint la maîtresse inflexible ! Confession pour le moins troublante et tragique. Il attendit tout le reste de la journée que lui soit envoyée la vidéo de sa femme, en train de participer à une expérience zoophile... chose dont il avait toujours rêvé en secret. Ah si, au cours des trois jours précédant la confession de sa femme, il ...