Et je devins adulte (4) - Histoires de Sexe

Et je devins adulte (4)

... (ce que n’était pas Charlène) alors qu’elle n’en avait pas encore profité ; comme si elle me gardait pour plus tard...

— Baise-la, mon fils.

— aaahhhh.

Je me contentais de tenir ses hanches fermement tandis que ma mère, se relevant, se mit à lui lécher les seins et la bouche dans un baiser furieux de plaisir que Charlène lui rendit en passant sa main sur sa chatte dans un échange de caresses saphiques...

Ce duel de corps tendus de plaisir dura de manière irréelle tant le plaisir nous submergeait. Mon sexe dur comme un pieu entrait et sortait du vagin de ma partenaire sans la moindre difficulté tant elle fournissait de cyprine due à son excitation ; Charlène gémissait, criait et pleurait de bonheur de cette prima pénétration dans son jeune corps qui n’était plus vierge, mais encore bien neuf et avide de sensations nouvelles... Elle semblait vouloir faire durer sans limites cet instant de plaisir qu’elle ne connaîtrait qu’une fois, son vagin avide de contact avec mon sexe qui lui remplissait totalement le ventre sans aucune défaillance.

Ses seins devenus durs telle une statue de marbre et chauds telle une bien vivante femme qu’elle était devenue par cet acte de perte de sa presque innocence.

Ma mère nous observait avec un regard plein de plaisir et de fierté de me voir assurer devant cette jeune femme qu’était Charlène et je ...

... pense assez fière de me voir "tenir la distance" comme on dit.

Elle ne se caressait pas et admirait nos deux corps, rejointe par Suzie qui au sortir de la douche se rhabillait, car elle avait un dernier rendez-vous administratif cette fois avec un client.

Un ultime coup de boutoir dans le ventre de Charlène et un cri rauque de plaisir acheva notre chevauchée par une inondation de son vagin avec mon sperme chaud et abondant...

Charlène s’abattit sur moi comme un cheval sauvage vaincu en m’embrassant à pleine bouche et ne souhaitant plus me quitter comme si cette séance devait rester dans sa mémoire, je me dis également que j’étais très heureux de ce moment passé dans son corps.

— je vous laisse, Charlène, je n’ai pas besoin de toi pour ce dernier client dont tu as.

Un petit moment après, Charlène se dirigea vers la douche suivie par ma mère puis moi, nous nous douchâmes séparément comme pour reprendre un peu nous esprits après ces activités plutôt intenses...

Charlène prit congé, nous laissant seules, Maman et moi ; la maison fut brutalement plongée dans un calme reposant propice à un retour de complicité mère-fils qui ne saurait tarder.

Maman se mit aux fourneaux tandis que je me reposais un peu après toutes cette dépense d’énergie et quelques tiraillements constatés dans mes hanches, certes guéris, mais encore en reconstruction.