1. Te souviens-tu...


    Datte: 10/06/2021, Catégories: fh, volupté, fsoumise, cérébral, Masturbation Oral 69, fsodo, tutu, ecriv_f, Auteur: Femme, Source: Revebebe

    ... tienne, je voulais ton bonheur, tes cris, ton souffle rauque, rapide et saccadé. Tes hanches me soulevaient. Tu dansais dans ma bouche, mes mains s’agitaient le long de tes cuisses, sous tes fesses, sur tes hanches. Violemment tu m’as ordonné d’arrêter, tu cherchais à me repousser, tu sentais la défaillance approcher. Pourtant je continuais et, dans une fausse retenue, tu plongeais dans la petite torture de l’interdiction de capituler tout en ne pouvant résister aux joies de mes caresses. Ton état décuplait mes envies et mon excitation, mes lèvres te serraient davantage encore, ma bouche est devenue plus accueillante aussi et ma langue plus audacieuse… Tu as crié fort. Je me suis délectée. je t’ai croqué encore un peu, caressé, aimé.
    
    Lorsque tu revins à toi, tu constatas que j’étais venue m’allonger contre toi. Nous nous sommes alors susurré les mots magiques, embrassés.
    
    Ta queue trahissait tes envies toujours présentes, de par sa raideur. Je me suis spontanément assise sur toi. Dans une douce cadence rythmée, je t’ai avalé millimètre par millimètre et tu as redécouvert mon intimité. Presque allongée sur le dos, entre tes cuisses, je dansais, et, comme j’étais sur le point de mourir à mon tour, tu m’as repoussée. Tu t’es échappé de mon ventre : horrible douleur, si grand vide, amour si grand et haine incontrôlable. Je t’aurais giflé, mais tu m’as voulue à califourchon sur la chaise récupérée, assise face au dossier, cuisses bien écartées.
    
    Le cul si indécemment ...
    ... offert, tu me voulais plus cambrée encore. Tu m’as délicieusement préparée : petit paysan qui cultivait son champ. Doigts coquins et langue effrontée ! Tu t’es mis à genoux, le sexe à nouveau si dur et envieux. Tu m’as pénétrée d’abord très doucement, puis si violemment que j’en ai pleuré. Ta main droite dans mes cheveux, tu tirais fort, pour trouver mon regard, mon abandon, mon plaisir. Tu m’embrassais. Tu me massacrais, et ce, à mon plus grand plaisir. Je sentais ton sexe si gros et si grand dans mon petit trou que tu rendais élastique.
    
    Ma fente ne te suffisait pas. Tu m’as violemment fouillé la chatte et sans égard, tu m’as enfoncé les boules de geisha que tu m’avais offertes lors de notre précédente rencontre, tout aussi coquine. Plaisir décuplé, car la cloison les séparant de ta queue étant si fine, je me sentais tout simplement pleine. J’ai deviné ton plaisir s’accroître sentant cette présence contre ton sexe et pourtant sans la toucher. Tu es redevenu fou.
    
    On s’est aimé très fort, longtemps. J’ai même eu mal, mais quelle importance, le plaisir étant immense !
    
    Tu m’as relevée tout en restant bien profondément en moi. Je me suis sentie poussée, projetée contre le mur. Tu tirais très fort sur mes cheveux, pour que je me cambre davantage, pour ne pas risquer de t’échapper de mon orifice si étroit. Contre la fenêtre, le visage en sueur, le froid de la vitre sur mes seins, sur mon ventre : toi, tu t’acharnais.
    
    Je me sentais mal-aimée, défoncée et pourtant, je sais qu’à ...