1. Psy et psy et colégram !


    Datte: 09/06/2021, Catégories: fh, 2couples, couple, couplus, grossexe, fête, amour, cérébral, Masturbation Oral préservati, pénétratio, fsodo, confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... pour mieux le sentir.
    
    Mais à côté aussi le mouvement perpétuel s’installe. Au début, la fille est hésitante. Bien qu’elle se soit enfilée la totalité de l’engin, elle commence doucement. Doucement, et cela en est d’autant plus excitant. Voir cette queue magistrale ressortir puis disparaître dans cette fente si délicate est un mystère. Mais la Nature est bien faite. La grotte s’adapte, se dilate, s’humidifie pour pouvoir recevoir le bâton de chair.
    
    Bientôt le canapé n’est plus que vibrations.
    
    Moi, la vieille, on me baise, et c’est bon.
    
    Elle, la jeune, égérie de sa génération, s’enfile un monstre, et c’est beau.
    
    Nos regards se croisent. Qui d’elle ou de moi tend la main ? Je ne sais pas. Tout ce que je sais, c’est que nous partageons notre plaisir et bientôt nos jouissances, faisant de nos mains une passerelle entre les générations.
    
    Mon orgasme a été dantesque. Une jouissance que j’avais oubliée, la pensant inatteignable à mon âge. Je crois que nos amants aussi ont aimé, si j’en juge par leurs grognements de mâles lorsqu’ils crachent leur semence.
    
    Chaque couple est reparti de son côté après un signe de la main. Armand est rentré chez lui, j’ai rejoint ma chambre.
    
    Le lendemain, au petit déjeuner, j’ai juste remarqué que la fille était avec un autre homme. Ainsi l’autre était un amant d’un soir. Qu’avait-elle dit à son mari ou compagnon de son absence ? Nous avons juste échangé un geste discret. C’était agréable, cette complicité coupable.
    
    — Voilà je ...
    ... vous ai tout dit, termine ma patiente.
    
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    Je reprends mon souffle devant ses aveux. Ce n’est pas la première fois que des patients me parlent de leur sexualité, mais rarement avec une telle éloquence dans le détail. D’habitude, ils sont plus directs, plus crus.
    
    — Très bien. Vous voyez tout s’est très bien passé. Vous m’avez donné les bases, mais maintenant il faut me dire pour quelles raisons vous venez me voir.
    — Bien sûr. C’est juste que…
    — Une petite goutte d’alcool ?
    — S’il vous plaît.
    — Vous n’êtes pas en voiture. Bien que cela soit trop peu pour dépasser la dose, une séance peut amplifier ses effets.
    — Non, en métro.
    
    Je lui donne juste un fond. Je crois que c’est plus le geste que l’alcool qui la réconforte.
    
    — Le problème, c’est que depuis, je ne dors plus ; ou si je dors, je ne cesse de revivre la scène. Mes nuits sont peuplées de cauchemars. Chaque matin je me réveille épuisée. Et aussi… excitée… sexuellement excitée… et je dois me… soulager avec un sextoy ou ma main. Des fois la journée aussi. Il suffit que je croise une personne qui me rappelle Armand ou le couple – le couple surtout, l’homme en particulier.
    — Vous parlez de cauchemars. Vous pouvez me décrire ?
    — Cela dépend. Manifestement, j’ai une imagination sans limites, sans bornes, totalement débridée lorsque je dors. Je fais l’amour. Je regarde d’autres faires l’amour. On me prend. Encore et encore. Je chevauche l’homme, le partenaire de la blonde. Armand aussi. Les deux… ...
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