1. Psy et psy et colégram !


    Datte: 09/06/2021, Catégories: fh, 2couples, couple, couplus, grossexe, fête, amour, cérébral, Masturbation Oral préservati, pénétratio, fsodo, confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... la robe et vais la poser soigneusement sur une table à côté. En me retournant, je constate que lui a enlevé sa veste.
    
    — Que tu es belle !
    
    Quelle femme ne serait pas heureuse d’entendre ce compliment ? Je ne sais pas si je suis belle, mais en tout cas, ce matin avant de partir, pour provoquer mon mari, je lui ai dit, alors que je lui reprochais de me tromper : « Tu vas voir si je ne peux pas me trouver un amant. Tu crois que je ne peux pas te faire cocu. Que je suis trop vieille pour plaire… »
    
    Et ce faisant je mettais ma lingerie la plus sexy que j’avais. Un ensemble de marque, chic, mais chargé de sensualité. Soutien-gorge demi-bonnet qui remonte mes seins et laisse la peau supérieure des lobes dans un arrondi délicat. Porte-jarretelles, culotte assortie, bas. Je m’étais longuement examinée dans la glace, non sans surveiller discrètement l’attitude de mon mari qui ne disait mot, mais me regardait. J’avais pensé« Il me regarde encore. Tout n’est peut-être pas perdu. »
    
    Mais dans cette pièce, c’est un autre qui me complimente. Un autre qui m’attire à lui. Un autre qui dégage mes lobes de leur soutien pour les caresser. Armand s’attarde longuement sur ma poitrine, alternant caresses de la main, pincements des tétons entre deux doigts et longues aspirations de ses lèvres. C’est délicieux. Je me laisse faire et ne peux retenir des gémissements de satisfaction. Alors sentant sa proie à portée de plaisir, l’homme me guide doucement vers le canapé pour me faire ...
    ... asseoir.
    
    Il est debout, face à moi. Malgré la lumière tamisée, je sens son regard qui me caresse. C’est bon de se sentir admirée et pas seulement une femme prête à se livrer.
    
    Il… Non… Je ne peux pas… C’est trop dur…
    
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    Je sens que ma patiente m’échappe. Elle bouge de son fauteuil, s’assoit, fait mine de se lever.
    
    — Allons, calmez-vous. Faites une pause. Voulez-vous un verre d’eau ? Que je baisse la lumière ? Oui, je vais nous mettre dans la pénombre. Sachez aussi que je ne juge pas, quoi que vous ayez fait. Ce n’est pas mon rôle. Mais pour que je puisse vous aider, je dois savoir. Tout savoir.
    
    Elle semble se calmer, dit un « merci » alors que je diminue l’éclairage.
    
    — Je veux bien à boire. Vous n’avez pas quelque chose de fort ? Un alcool ?
    — Je n’ai que du whisky.
    — Cela ira très bien.
    
    Je la sers. Elle boit à petites gorgées. Repose son verre à côté d’elle. Puis elle reprend place.
    
    Je diminue encore l’éclairage, ne gardant qu’une lampe qui me permet de prendre des notes.
    
    — Vous êtes prête à reprendre ?
    — Oui.
    
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    Armand est face à moi, mais il se penche, s’agenouille. Avec lenteur, presque solennité, il pose ses mains sur mes genoux, effleurant la soie de mes bas et commence à les remonter. Mes yeux comme les siens ne quittent plus ses deux mains blanches qui font deux taches mobiles sur les bas noirs. Il atteint la lisière, effleure le ruban élastique qui les relie au porte-jarretelles. Je crois que j’ai fait « Ahh ...
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