1. Psy et psy et colégram !


    Datte: 09/06/2021, Catégories: fh, 2couples, couple, couplus, grossexe, fête, amour, cérébral, Masturbation Oral préservati, pénétratio, fsodo, confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... d’autres.
    
    Cela a été délicieux. Encore meilleur que la première fois. Mon mari a été un amant extraordinaire. La présence d’un couple qui baise juste à côté est un stimulus énorme. Moi, j’ai adoré autant par ce que je ressentais que ce que je voyais. Surtout que je savais que j’allais enfin régler le troisième point.
    
    ------------------
    
    — Vous m’intriquez, Claire. Je comprends que vous avez reconstitué une bonne partie de votre « noce », mais concernant l’homme qui était votre voisin, comment pensez-vous faire ?
    — Je vais vous montrer.
    
    Ma patiente se lève du sofa et vient se placer face à moi. Elle sourit de voir ma surprise, mais aussi de mon ébahissement lorsqu’elle commence à détacher les boutons de son manteau.
    
    — Vous avez raison, il fait chaud chez vous.
    
    Ma surprise se transforme en saisissement lorsque le manteau laisse voir ce que Claire porte dessous. Ce qu’elle porte, je l’ai déjà vu. D’un seul coup, mon cerveau fait défiler les images de cette soirée. Je comprends tout.
    
    Ainsi la femme que j’ai fait danser, c’est elle ! Cette femme qui ronronnait littéralement et se lovait contre moi, collant son pubis contre le mien, n’hésitant pas à tâter ma virilité de sa main.
    
    Bien sûr que c’est elle. Elle portait un masque avec une voilette. Moi, j’étais à visage découvert. Elle m’avait bien sûr reconnu. Pas moi. Comment aurais-je pu me douter ? Comment aurais-je pu imaginer que nos chemins se croiseraient justement cette nuit-là auBlue Lagoon ?
    
    La ...
    ... femme du club portait une robe d’un blanc immaculé, mais si courte qu’on savait qu’elle n’avait pas de culotte, si décolletée que les seins ne demandaient qu’à s’émanciper.
    
    La femme, la patiente, Claire portait toujours des tenues élégantes et bourgeoises lors de nos rendez-vous.
    
    Ainsi c’était elle.
    
    Elle qu’avec son mari nous avons suivie dans un coin câlin.
    
    Elle qui avait soulevé sa voilette pour sucer son mari, les fesses à l’air, les seins débordants.
    
    Elle dont je voyais le regard suivre la sucette de mon amie.
    
    Elle en levrette avec la queue de son mari qui s’activait pendant que je faisais de même à mon amie.
    
    Et cette femme est devant moi, dans mon cabinet, et elle…
    
    — Claire, non. Ne faites pas cela. Je n’ai pas le droit : vous êtes ma patiente.
    
    Mais elle ne m’écoute pas.
    
    Déjà elle défait ma ceinture.
    
    Déjà elle tire sur le zip.
    
    Je rends les armes.
    
    Des armes qu’elle extirpe avec délicatesse du slip. Mais des armes encore dans l’armurerie.
    
    Il suffit de me lever un peu de mon siège pour qu’elle m’enlève slip et pantalon.
    
    C’est elle qui me pousse vers le divan. C’est elle qui m’y couche. C’est elle qui se saisit de ma queue encore alanguie. Dans ses yeux mille étoiles brillent. Il suffit de quelques mouvements pour que je bande.
    
    Claire me découvre. Je ne sais pas comment était la bite du mec, mais la mienne lui paraît suffisante.
    
    Quelques léchages pour en prendre connaissance. Mes couilles sont humides. Je brille de partout. Mon ...