Une histoire ( pornographique) de famille... (1)
Datte: 08/06/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
C’est sympa les petites soirées entre potes, surtout quand il y a de l’alcool, et qu’on a un truc bien excitant à raconter...à trois mecs "morts de faim" !
Mes trois meilleurs potes du moment : Xavier l’intello de la bande, Greg le sportif et Lucas, le timide.
Un point commun à tous les quatre : l’absence pathologique de relations suivies avec les filles.
Pour le dire d’une autre façon : 4 mecs “relous” avec les filles (je m’inscris dans la situation), qui n’avaient pas encore bien compris l’insondable mystère de la Nature Féminine. Nos petites réunions, emplies de relents de testostérone, se partageaient entre l’ambiance d’une réunion des "alcooliques anonymes" et d’un cercle littéraire de niveau SEGPA !
Évidemment, quoique parlant la langue de Voltaire, nous n’avions point les circonvolutions littéraires et poétiques d’un Du Bellay ou d’un Ronsard !
— Heureux qui comme Kevin s’en est retourné à son bahut, et a réussi à choper la salope, et à la lui mettre dans’l’... !
Nous étions un peu le "Cercle des poètes bien, mais alors vraiment bien disparus", et comme "Les bûcherons de la forêt de Gastine" de Ronsard, nous ne pensions qu’à nous servir de nos engins, pour frayer (au choix verbe transitif ou intransitif) un chemin dans la végétation... blonde, brune, ou rousse, voire carrément rasée, suivant les goûts !
Ah, La Femme ! C’était notre Némésis et notre Athéna Nike (ou avec "QU", au choix...) en même temps ! Notre plus grand malheur, notre plus grande ...
... déception et en "même temps", comme le dirait un Grand Président, dont je suivais les vœux du Nouvel An, une bouteille de vodka et une boîte de caviar Béluga à portée de main (la vodka pour oublier l’année désastreuse passée, et le caviar comme un espoir de prospérité pour l’année suivante), notre plus belle victoire espérée, notre objectif vital : mettre dans le mille et décharger, en bouillonnements jaillissants intempestifs, le trop-plein d’énergie (fossile), comme L’Amoco-Cadiz déchargeait ses milliers et ses milliers d’hectolitres de pétrole (Pouic pouic !) dans une nature immaculée (pas de jeux de mots), vierge, et délicatement gazonnée de touffes de lichens aux suaves senteurs marines, dans un ruissellement d’écumes marines et de glaires.
Mais il fallait bien croire que nos projets concernant le Beau Sexe, faisaient le même effet aux délicieuses "farfadètes et korigannes" (désolé, il n’y a pas de féminin, j’ai dû m’adapter) qui hantaient nos couloirs de fac, qu’aux habitants de la douce Bretagne, quand on leur parle de pétroliers... et de déversements liquides impromptus !
Elles étaient d’ailleurs aussi difficiles à "attraper" (nous, on aurait dit " pécho") que dans les légendes bretonnes !
Alors pour nous, sévissait chaque soir, le désespoir de "l’Ankou" de nos braguettes moribondes, uniquement ramenées à la vie par un vigoureux mouvement du poignet ! Triste nature humaine ! Parce que malheureusement, si l’Ankou embarque avec sa charrette, les cadavres des ...